Contact presse

Sophie Marieke Preuss
Head of Brand Marketing Zumtobel

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Information de presse 2010

  • 10/2011
    Solutions lumière

    Cent pour cent LED

    SPAR ouvre ses premières filiales dotées d'un concept LED
    Tout en LED : les trois premiers supermarchés SPAR pour la protection climatique viennent de s'ouvrir, entièrement équipés de luminaires à LED de Zumtobel.
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    Avec un nouveau concept de magasin, SPAR a voulu marquer le ton : les premiers supermarchés SPAR orientés sur la protection climatique ont ouvert pratiquement en même temps à Vienne et à Murau en Autriche et à Wetzikon en Suisse avec un éclairage 100 % LED de Zumtobel. Pour ce projet, Zumtobel a conçu un éclairage unitaire composé uniquement de luminaires à LED : l'éclairage de base des trois supermarchés est assuré par le système de chemin lumineux Tecton LED – présenté en première au salon Light+Building 2010. Ce produit largement éprouvé de Zumtobel offre dans la version LED une excellente qualité de lumière avec des sources efficaces et pour ainsi dire exemptes d'entretien. L'éclairage des rayonnages, des salles annexes et des espaces extérieurs est également entièrement basé sur des produits LED. En conjugaison avec d'autres mesures constructives innovantes, les filiales parviennent ainsi à économiser 50 % d'énergie et jusqu'à 80 tonnes de CO2.

    Le SPAR de Vienne, premier supermarché de la capitale fédérale Autriche à pratiquer activement la protection du climat, a posé un jalon en matière de durabilité : construit dans une colline, offrant un grand espace vert sur le toit situé au niveau du sol, le magasin de 684 m² est un exemple éloquent de protection climatique, d'architecture paysagère et d'efficacité énergétique réussis. Le supermarché reposant sur le concept de construction passive, équipé d'installations efficaces en énergie, depuis l'éclairage jusqu'à la technique du bâtiment, a convaincu les responsables de la société autrichienne pour une gestion d'immeubles durable, la « Österreichische Gesellschaft für Nachhaltige Immobilienwirtschaft » qui lui a décerné le certificat or ÖGNI. Cette distinction internationalement reconnue tient non seulement compte de critères de construction, mais également de nombreux aspects liés à la durabilité. Par la présentation d'un éclairage à haute efficacité 100 % LED, offrant une excellente qualité et une lumière agréable qui ménage les produits, Zumtobel a pu marquer des points. « L'éclairage innovant de Zumtobel réalise à nos yeux tous les critères qui rendent un espace de vente attrayant : une excellente lumière pour nos clients et un maximum d'économie d'énergie pour protéger le climat et l'environnement » explique Gerald Geiger, directeur du service Construction/Énergie/Technique de la centrale SPAR de Salzbourg.

    Le système de chemin lumineux Tecton utilisé pour l'éclairage général a pour la première fois été équipé de LED. Le client bénéficie ainsi de plusieurs avantages à la fois : d'une bonne gestion thermique à l'intérieur du luminaire qui assure une grande durée de vie des diodes électroluminescentes et en corollaire, une réduction sensible des coûts et des travaux d'entretien. En outre, la lumière LED sans rayonnement IR ni UV ménage les aliments. Le système de chemin lumineux Tecton, qui satisfait les exigences en matière d'éclairements vertical et horizontal et offre une très bonne qualité de lumière, possède toutes les caractéristiques nécessaires à un éclairage de base uniforme et efficace. Même au niveau esthétique, la fine ligne lumineuse continue du Tecton LED, sans zones sombres aux extrémités du luminaire, a tout pour plaire.

    Afin de faire ressortir les rayonnages et les produits, les rails multifonctions Tecton ont aussi été équipés de projecteurs à LED. De cette manière, la solution lumière du magasin offre un aspect continu et homogène. Les puissants projecteurs à LED remplacent très efficacement les lampes à décharge haute pression. Le système de refroidissement intégré dans la tête des projecteurs assure en outre une durée de vie de 50 000 heures (à 70 % du flux lumineux) exempte d'entretien. Les projecteurs orientables offrent en outre au personnel la possibilité d'adapter l'éclairage aux présentations saisonnières variables.

    La zone des caisses bénéficie d'un éclairage additionnel réalisé avec des luminaires à LED carrés. Installés au-dessus des couloirs, ceux-ci facilitent l'orientation. Pour les salles annexes et pour l'éclairage de sécurité, des luminaires à LED ont également été mis en œuvre. L'efficacité des downlights à LED Panos Infinity dépasse de plus de 70 % celle des lampes fluocompactes conventionnelles. Avec le luminaire de sécurité à LED Resclite, le client profite de la faible puissance connectée.

    Le concept d'éclairage intérieur du nouveau supermarché pour la protection du climat dans la ville styrienne de Murau est, à l'instar de celui de Vienne, réalisé à 100 % avec des luminaires à LED. « Dans ce magasin, Zumtobel a réussi à réalisé une solution LED complète d'une qualité de lumière très élevée. Les solutions LED seront prochainement incontournables parce qu'elles renferment un énorme potentiel et deviennent de plus en plus performantes » déclare Robert Lesiack, le concepteur électricien responsable du bureau technique Mayr. Avec sa façade en pierre et en bois, ce magasin de 743 m² de superficie, également certifié or ÖGNI, s'intègre parfaitement dans la région de la vallée de la Mur. Contrairement à Vienne, la façade extérieure du magasin de Murau est éclairée : les modules d'éclairage à LED installés sous l'auvent font ressortir le bâtiment même la nuit.




    Informations sur le projet :
    marché SPAR à Murau/A
    Maître d'ouvrage : SPAR
    Architecte : Veider Röthl Kaltenbrunner, Leoben/A
    Conception électrique :
    TB Mayr, Bruck a. d. Mur/A
    Installation électrique : Klampfer, Leonding/A
    Solution lumière : Zumtobel
    » Système de chemin lumineux TECTON LED,
    » projecteur à LED SL 1000,
    » downlights semi-encastrés SL 1000,
    » luminaire apparent à LED CAREENA,
    » downlight à LED CRAYON,
    » éclairage de sécurité à LED RESCLITE,
    » downlight à LED PANOS INFINITY,
    » luminaire tubulaire TUBILUX LED,
    » downlight 2LIGHT Mini LED,
    » luminaire à LED HEDERA


    images : Publication gratuite avec la mention : Zumtobel
  • 12/2010
    Solutions lumière

    Université de Reykjavik

    La clarté nordique
    Un système d’éclairage novateur, intégré et modulaire aux dimensions minimalistes pour le nouveau campus de l’université de Reykjavik.
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    À mi-chemin entre les parcs scientifiques établis en Europe et en Amérique du Nord, l’université de Reykjavik s’élève comme l’une des nouvelles adresses en vogue de la recherche et de la technologie. Henning Larsen Architects de Copenhague, en collaboration avec ARKIS Architects de Reykjavik, ont créé un campus qui s’étend, telle une étoile, autour d’un hall d’accès circulaire central entre l’ancien aéroport de la ville de Reykjavik à l’ouest, les plages les plus courues de la ville au sud et une étendue forestière au nord et à l’est. D’autres ailes du bâtiment pourront venir compléter ultérieurement le hall d’accès de façon modulaire. De même, il est possible de réaliser des agrandissements au nord et à l’est grâce à des densifications et des prolongements des ailes de bâtiment de forme de rayons. Grâce à l’ouverture du rez-de-chaussée vers l’extérieur, la plage et la forêt s’invitent très largement au cœur du paysage. Ainsi, toutes les salles bénéficient non seulement de la qualité unique de l’environnement naturel, mais elles sont également éclairées et chauffées de façon optimale par la lumière du jour, un aspect essentiel pour la durabilité du bâtiment. Lors de la planification du campus, l‘objectif était de mettre en œuvre des technologies de construction durables et tournées vers l’avenir, mais également d’en faire des parties intégrantes des études. Dès leur entrée dans les nouveaux locaux, les étudiants et les enseignants peuvent désormais, par exemple, étudier le phénomène des comportements lumineux particulièrement nordiques à l’aide de données issues de la sonde de lumière naturelle Luxmate de Zumtobel. Normalement, celle-ci alimente seulement en données de mesure la commande automatique de l’éclairage et des stores en fonction de la lumière du jour.

     

    De même, la solution développée par le concepteur d’éclairage Gudjon L.Sigurdsson pour la commande de la lumière proprement dite exploite les innovations technologiques autant que possible afin d’aménager le bâtiment de la manière la plus confortable et flexible possible. Litenet, avec la technologie d’éclairage d‘urgence Onlite intégrée, permet de pouvoir réagir avec flexibilité et à moindre coût aux besoins de surface en pérpétuelle évolution. La plupart des lampes ont été livrées avec des blocs d’alimentaion de type « Dimming on Demand » (DOD). Ainsi, il a été nécessaire de décider dès la mise en service si une lampe devait être ou non variable. Il a ainsi été possible de réaliser des économies substantielles pour un grand nombre de lampes. Les économies réalisées sur les coûts de maintenance permettent la création d’un « Cockpit de maintenance » (OPC) totalement intégré dans la surface, lequel permet à son tour d’optimiser les intervalles de maintenance.

    La commande de stores automatisée Luxmate a été développée spécifiquement pour les comportements d’éclairage locaux spécifiques, avec un soleil nordique rayonnant à plat durant de longues périodes. Les utsagers du bâtiment remarquent la commande de la lumière progressive grâce aux écrans tactiles placés dans les salles de cours magistraux et de séminaires. Cette dernière commande les modules d’automatisation locaux. Outre la réservation centrale de salles de cours magistraux, les enseignants peuvent en même temps consigner leurs scénarios d’éclairage favoris et économiser ainsi un temps de cours précieux qui ne sera pas passé au réglage de la lumière.

    Pour la plus grande partie du bâtiment, les architectes et les concepteurs d’éclairage ont conçu un système de plafond à partir de lamelles métalliques enroulées, partiellement perforées, qui a une influence sur la sonorité, permet l’aération au-dessus des plafonds et abrite les installations au plafond. Toutes les lamelles sont dirigées vers le hall d’accès et servent ainsi automatiquement de système d’orientation. Les ampoules intégrées dans ces lamelles ont pour mission de renforcer cet effet. Pour développer ces luminaires, qui doivent en outre répondre aux exigences en termes d’éclairage des auditoriums, des bureaux, des bibliothèques et des lieux publics, le maître d’ouvrage a ouvert un concours entre plusieurs fabricants de luminaires. Le choix s’est porté sur Zumtobel en raison d’un concept qui, malgré les très petites dimensions et la pleine satisfaction des dispositions règlementaires, permet une efficacité encore plus élevée du personnel et qui, en raison de sa simplissime modularité, peut être légèrement adapté aux différentes exigences sur site en termes d’éclairage. Avec une lampe T5 visible et une structure interne visible des luminaires, la « Technologie » a pu être mise en scène de façon appropriée comme thème du bâtiment. Dans le même temps, une référence au phénomène naturel islandais unique en son genre a pris forme. Grâce à sa clarté cristalline, la lumière rappelle les blocs de glace clairs typiques des plages islandaises de Lava.

    Avec les réflecteurs latéraux translucides, les mini-grilles optimisées et une température de fonctionnement des lampes optimale, l’efficacité des gens a pu être améliorée de plus de 15 % par rapport à ce qui est prévu pour des technologies standards. Leur modularité permet un positionnement libre sur un profilé porteur, ainsi que des versions sur appliques murales et des versions à rayonnement libre. Car elle exploite autant que possible les avantages des ampoules T5 encore valables et qu’elle met dans le même temps ces ampoules en scène telles des protagonistes, la lumière est devenu une sorte de louanges aux temps où les innovations n’étaient possibles qu’avec des LED.

    La planification de base de l’université de Reykjavik a été réalisée avant la crise financière mondiale qui a particulièrement touché l’Islande. Elle a malgré tout été en grande partie conçue durant la crise. Pour ce faire, les circonstances particulières de la crise ont conduit à des solutions encore meilleures et encore plus sophistiquées : innovantes !



    Informations sur le projet :

       
    Maître d’ouvrage : EFF, Reykjavik/IS
    Architecture : Henning Larsen Architects, Copenhague/DK, ARKIS Architects, Reykjavik/IS
    Planification de l’éclairage : VERKIS, Reykjavik/IS
    Installation électrique : Rafmiðlun hf, Reykjavik/IS
    Solution d’éclairage : Zumtobel
    Luminaires spéciaux RU-Slimlight / Z-fourtyfive,
    » lampes à monter PERLUCE,
    » lampe à paralume FEW,
    » Projecteurs VIVO,
    » système de gestion de l’éclairage LUXMATE LITENET,
    » système d’éclairage d’urgence ONLITE



    Illustrations: Publication sans droit d’auteur avec la mention Zumtobel

  • 11/2010
    Entreprise

    The Making of Discus

    En quete de soleil – Entretien avec Harald Gründl, EOOS
    La forme suit les LED. Le design d’EOOS du projecteur Discus a été spécialement conçu pour la première fois en se basant sur la technologie des LED. Le concept de design innovant d’EOOS garantit un refroidissement purement passif du module à LED, tout en présentant des dimensions très compactes et un aspect très concis.
    Plus d’informationsMoins d'informations
    La nouvelle gamme de projecteurs Discus parvient à intégrer clairement pour la toute première fois les possibilités et les exigences de la technologie des LED dans le design. La forme de disque solaire avec l‘anneau à ailettes, élément de design qui domine l‘apparence du projecteur, permet un refroidissement passif du module à LED haute performance grâce à un bilan thermique optimisé. Avec seulement 28 mm, le modèle de LED est extrêmement étroit. La nouvelle plateforme Adaptateur / Trackbox affiche également un langage des formes compact et discret, et souligne le concept minimaliste des projecteurs. Pour son design agréable, la gamme de projecteurs a reçu du conseil l’iF Award 2010 récompensant le design exceptionnel d’un produit pour son façonnement.

    Le design de cette série de projecteurs hors du commun a été imaginé par le Designstudio EOOS de Vienne, un partenaire de longue date de la société Zumtobel dans le domaine du design. La réussite de produits tels que les projecteurs à LED Tempura, la gamme de projecteurs Vivo ou encore les premiers projecteurs design écologiques, explique l’exigence des avant-gardistes de la capitale autrichienne en termes de design, un design qu’ils veulent discret et à la fois très concis. Avec leur philosophie d’analyse poétique, ils prennent volontairement du temps pour s’immerger dans la philosophie d’entreprise du partenaire et cerner ainsi l’identité subconsciente de leur donneur d‘ordre. Cela leur permet également de déterminer parfaitement les composantes fonctionnelles et émotionnelles. Cependant, l’analyse poétique est avant tout la recherche d‘un modèle intuitif, d’un rituel ou d’une légende, d’un mythe.

    Entretien avec Harald Gründl, en collaboration avec Gernot Bohmann et Martin Bergmann, les responsables de la création du bureau de design EOOS, à propos de l’attrait et du défi de la nouvelle technologie à LED

    La gamme de projecteurs Discus aborde les nouvelles possibilités de design offertes par les LED. Quels défis se sont présentés lors du développement ?

    Harald Gründl : Nous avions déjà eu l’idée de créer un projecteur totalement plat lors d’une réunion concernant le premier projecteur à LED (Tempura), il y a 4 ans de cela. Mais, la technologie des LED est maintenant extrêmement développée et les LED sont nettement plus efficaces qu’auparavant de telle sorte que nous avons pu faire de notre vision une réalité : créer un projecteur à LED en forme de disque. Cela conforte notre conviction qu’une mutation technologique est en train de se produire et que les LED peuvent véritablement répondre aux exigences futures en termes de qualité de lumière et d’efficacité énergétique. Jusqu’ici, la technologie des LED a été intégrée dans des formes conventionnelles. Pour nous, il est vite apparu au cours du processus de développement que nous allions inverser cette tendance et que nous allions intégrer des ampoules conventionnelles dans cette forme de disque.


    Les « rayons du soleil » du disque sont très frappants aimez-vous les formes immuables ?


    Harald Gründl : Nous étions à la recherche d’une image forte pour le disque et nous avons trouvé cette image très, très forte dans les pendentifs portés par les shamans : des disques solaires. Ces disques solaires ont des milliers d’années. Pour nous, cette forme achaïque associée à une haute-technologie moderne est un reflet de la société contemporaine. Nous, les êtres humains, sommes faits d’histoires, de mythes et de rituels qui datent de milliers d’années. Mais, d’un autre côté, nous sommes marqués par la technologie moderne que nous ne pouvons pas toujours appréhender totalement. Et cette association de ces différents aspects est en fait devenue le point de départ de la conception de Discus.


    Les rayons assurent une fonction technique essentielle. Souhaitez-vous le souligner explicitement par le biais du design ?


    Harald Gründl : Dans le cas de Discus, la forme des rayons s’explique, d’une part, par cette forme symbolique, c’est-à-dire ces pendentifs portés par les shamans, à laquelle nous faisons référence et, d’autre part, les rayons organisés radialement sont également les ailettes qui refroidissent le module de LED placé au centre du projecteur. Le projecteur est conçu de telle sorte que, dans toutes les positions, l’air est aspiré par le bas, le refroidissement des LED est garanti et l’air chaud est ensuite évacué vers le bas. Et notre approche en termes de conception le montre parfaitement : les formes symboliques ne doivent pas seulement exister individuellement, elles doivent être un élément faisant partie intégrante de la fonction technique. Pour nous, le design n‘est pas quelque chose qui doit occulter la fonction technique. Pour nous, la forme définitive qui ressort est l’interaction d’une forme symbolique et d’une nécessité technique.


    Avec la technologie des LED, les exigences techniques de l’éclairage deviennent toujours plus importantes, et ce pour les designers également ; comment composez-vous avec cela ? Devez-vous maintenant être également des experts en techniques d’éclairage ?


    Harald Gründl : Certes, il s’agit d’un projecteur, mais le problème à surmonter ici est qu’il ne s’agit pas d’une technique d’éclairage mais d’une technique thermique. Cela témoigne de l’évolution de l’approche de la technologie des LED. En effet, celle-ci consiste plus à s’occuper de la manière dont la chaleur est émise qu’à se préoccuper des aspects de technique d’éclairage. De fait, le module de LED est optimisé en termes de technique d’éclairage et il doit seulement etre parfaitement refroidi en réalité. À l’avenir, le design ne doit donc pas tant envelopper mais plutôt ouvrir des formes afin de s’adapter aux exigences techniques des LED. Nous espérons que cette forte forme archétypique du projecteur persistera et sera exclusivement complétée par des LED toujours plus puissantes.


    La gamme de projecteurs Discus est spécialement conçue pour des applications dans le secteur de la vente et de la présentation. Selon vous, quels sont les avantages majeurs de ce projecteur ?


    Harald Gründl : Du fait de notre expérience de concepteurs pour le secteur du détail, il est particulièrement important de concevoir une forme dotée de différentes sources lumineuses. De même, il ne doit pas exister différentes tailles, mais seulement des variations de ce qui en sort : l’angle de diffusion ou le mode d’éclairage. Et cela présente deux avantages : heureusement, dans quelques années, il existera encore des disques. Et un autre avantage pour l’application actuelle dans le secteur du détail : il est possible de mélanger différents éclairages sans avoir pour autant différents projecteurs au plafond.

    » À la famille de produits DISCUS



    Illustrations: Publication sans droit d’auteur avec la mention Zumtobel, 1 : Udo Titz 

  • 11/2010
    Entreprise

    Toujours des informations fraîches

    La « Map of Light » de Zumtobel pour terminaux mobiles
    Zumtobel maintenant aussi sur le mobile : la nouvelle application « Map of Light » offre des informations relatives aux nouveaux projets et produits sur iPhone, iPad et iPod.
    Plus d’informationsMoins d'informations
    Zumtobel est depuis peu représenté dans l'iTunes Store d'Apple avec une application attrayante. Sur pression de bouton, les derniers projets et produits peuvent maintenant être visualisés sur un iPhone, un iPad ou un iPod. L'application « Map of Light » offre des informations et des impressions sur plus de 500 projets architecturaux et solutions lumière du monde entier. Cet outil de travail de Zumtobel est idéal pour ceux qui sont en déplacement. Les clients ont toujours accès aux derniers projets - triés en fonction de l'application ou de la distance qui les sépare du projet. Il est possible de sélectionner une des dix applications Zumtobel, depuis Art et culture, à Vente et Présentation, en passant par Bureau et communication, afin de limiter la recherche. Une autre fonction permet la recherche d'après certains projets ou systèmes. Le projet est affiché au format PDF avec une fonction de transmission par e-mail, ainsi l'information peut à tout moment être envoyée à des partenaires commerciaux.

    Avec la « Map of Light », Zumtobel révolutionne la visualisation de projets d'éclairage. Une galerie d'images très complète transmet une impression réaliste du projet et assiste le service extérieur de Zumtobel ainsi que les architectes et concepteurs dans leur activité. La « Map of Light » comprend aussi des fonctions complémentaires comme la fonction « Around-me » qui trouve les projets à proximité - et les affiche avec l'adresse et toutes les informations utiles. Un lien vers les produits utilisés dans les projets offre des détails et des propositions de solutions. Une fonction « Favoris » permet d'enregistrer les projets intéressants et de le revisualiser à tout moment.

    En plus des passionnantes informations, l'application offre une vue d'ensemble des derniers produits phares de Zumtobel, des luminaires à LED, projecteurs, downlights jusqu'aux systèmes de gestion de l'éclairage et luminaires de sécurité. Beaucoup de projets sont accompagnés d'animations et de vidéos qui présentent des informations sur les produits ou sur le processus de conception.

    L'application est proposée en cinq langues : anglais, allemand, français, italien et néerlandais. Comme service supplémentaire, l'application communique également toutes les adresses de contact des interlocuteurs Zumtobel du monde entier.

    L'application est disponible gratuitement via il Store d'Apple.

    » http://itunes.com/apps/mapoflight


    Illustrations: Publication sans honoraire avec la mention : Zumtobel
  • 11/2010
    Solutions lumière

    MAXXI à Rome

    Sculpture dynamique
    Avec le projet MAXXI, le musée national des Arts du 20ème siècle, le cabinet Zaha Hadid Architects a transposé l’idée de « dérive », de formes fluides et de « se laisser porter » en une impressionannte enfilade de salles.
    Plus d’informationsMoins d'informations
    Le premier musée national italien d’art contemporain est une sculpture architecturale qui parle d’elle-même. Avec le projet MAXXI, le musée national des Arts du 20ème siècle, le cabinet Zaha Hadid Architects a transposé l’idée de « dérive », de formes fluides et de « se laisser porter » en une impressionannte enfilade de salles. Pour ce faire, la lumière naturelle et la lumière artificielle, utilisées comme outils d’agencement, accentuent la dynamique de l‘architecture.

    Sur le terrain d’une ancienne caserne militaire situé à la frontière nord de la ville intra-muros, entre la boucle du Tibre, le secteur résidentiel et les entrepôts, le bâtiment gris clair du MAXXI saute aux yeux de très loin. Ses formes courbes entrelacées émergent du quadrillage urbain orthogonal et attirent les visiteurs comme par magie.

    Telle une imposante sculpture, avec un jeu d’ombres et de lumières aux multiples nuances, l’immeuble en béton apparent fait son effet sur la vaste esplanade. La lumière du soleil dessine des formes claires par les ouvertures, des lignes d’ombre se déplacent sur la place, l’intérieur et l’extérieur sont subtilement liés. Tels des auvents, les corps de bâtiment en saillie guident les visiteurs dans le hall, une salle de la hauteur du bâtiment, attirés par ses escaliers et ses passerelles entrelacés : une salle conçue à la manière du Piranèse, en béton clair et acier noir. La sculpture dynamique des escaliers relie les cinq niveaux d’exposition, mais elle met également en scène le flux de déplacements à travers la « vertikale Piazza ». La lumière du jour se diffuse de la verrière au sol, délicatement équilibrée par un plafond lumineux spécialement conçu. En cas de besoin, il est possible d’y intégrer un éclairage indirect connectable à ampoules fluorescentes. Ce système combiné permet un éclairage de base homogène. En parallèle, les architectes utilisent volontairement la lumière artificielle comme un outil d’agencement : « Dans le hall principal, nous avons mis la lumière en scène. Toutes les lampes sont intégrées dans les éléments architecturaux. En tant que structures linéaires, elles soulignent la dynamique de l’itinéraire », explique l’architecte du projet, Gianluca Racana, à propos du concept. À l’instar de porte-lumière, les escaliers et les passerelles se blotissent contre les murs ou s’étirent librement dans l’espace. Équipées d’ampoules fluorescentes placées derrière un film et du verre acrylique dispersant la lumière, leurs parties basses translucides brillantes agissent comme des caisses lumineuses.

    La générosité du hall d’entrée, ses lignes fluides et sa dynamique spatiale se poursuivent dans les salles d’exposition. Avec des murs droits, courbés ou inclinés, des couloirs, des rampes et des terrasses, les enfilades de pièces apparaissent, tout aussi étonnantes que diverses. Certaines zones d’exposition sont introverties, d’autres s’ouvrent vers l’extérieur à travers d’immenses surfaces vitrées. Les salles évoluent en parallèle, se croisent, se coupent, forment des niveaux en cascade, se poursuivent par des méandres prenant différentes directions, pour se retrouver un peu plus loin. Le visiteur se laisse volontiers porter par cette enfilade fluide de salles, dérivant en toute décontraction à travers l’impressionnant paysage d’exposition. Au lieu de cabinets classiques, les surfaces modulaires s’offrent de différentes manières aux conservateurs, au total 10 000 m2 dédiés aux arts contemporains sous les formes les plus diverses. La complexe composition d’espaces réalisée par Zaha Hadid remet en question l’idée des salles d’exposition traditionnelles et de la neutralité du « white cube ». Au lieu de cela, le MAXXI permet de mettre en scène et d’expérimenter l’Art dialoguant avec l’Architecture sous un angle totalement nouveau, avec une abondance d’interconnexions et d’associations.

    Le concept d’éclairage se différencie en conséquence. La lumière naturelle dans le rôle principal, comme dans la cage d’escaliers, marque l’atmosphère des salles éclairées par le haut, presque comme dans des ateliers. « Nous voulions mettre à disposition autant de lumière que possible, la plupart des œuvres d’art prenant également forme à la lumière du jour, et percevoir ainsi fidèlement les couleurs et les surfaces. De la même manière, il était important pour nous de créer des conditions optimales avec la lumière artificielle », indique Gianluca Racana. C’est le rôle que jouent les complexes plafonds lumineux. Tous les éléments techniques sont intégrés dans les étroites poutrelles, des poutres en treillis en acier habillées d’éléments en béton : elles supportent les caillebotis extérieurs qui servent de protection solaire et de diffuseur de lumière. Des deux côtés des supports de poutres, des ampoules fluorescentes variables sont intégrées sur toute la longueur derrière du verre acrylique translucide diffusant la lumière et assurent l’homogénéité de l’éclairage général. Des lamelles en aluminium servent d’écrans solaires. Elles sont régulées par le système intelligent de gestion de l’éclairage Luxmate Litenet en fonction de la position du soleil et de la situation d’éclairage souhaitée. Ainsi, il est assuré de pouvoir régler de façon optimale le mélange de lumière naturelle et artificielle, en fonction de la lumière du jour. D’autres projecteurs peuvent être montés sur le système de rails intégré sur la face inférieure des supports, mais également des vidéo-projecteurs et des cloisons légères.

    À l’extérieur également, l’agencement de l’éclairage est adapté dans les moindres détails à l’architecture. D’une part, l’éclairage d’ambiance met le MAXXI en avant en qualité d’élément constitutif de la ville et, d’autre part, l’orientation lumineuse souligne l’interconnexion avec le quartier existant.

     

    Informations sur le projet : MAXXI, Rome/I
    Maître d'ouvrage : ministère Italien de la Culture, Rome/I
    Architekture : Zaha Hadid Architects, Zaha Hadid et Patrik Schumacher, London/GB
    Planification
    d'éclairage :
    Equation Lighting, London/GB
    Planification
    électrique :
    MaxFordham and Partners, OK Design Group, Londres/GB
    Installation électrique : Ciel Spa, Rome/It
    solution d'éclairage : Zumtobel
    Foyer: » système de bandes lumineuses TECTON
    Salles d’exposition: 
    » système de bandes lumineuses TECTON
    ,
    » projecteurs VIVO L,
    » plafonniers PANOS,
    » système de gestion de l’éclairage LUXMATE LITENET 


    Images : Publication sans droit d’auteur avec la mention Zumtobel

  • 11/2010
    Entreprise

    Chine : une diversité et un potentiel

    Entretien avec Kai Cui et Sherman Lin
    La Chine connaît un boom dans le secteur de la construction. Les architectes déjà très renommés en Chine que sont Sherman Lin et Kai Cui ne sont toutefois pas encore connus en Europe.
    Plus d’informationsMoins d'informations
    La république populaire de Chine, forte de ses 1,3 milliards d’habitants, est en passe de devenir une puissance mondiale, ce qu’elle est déjà dans certains secteurs. Les branches d’avenir, telles que les technologies solaires et environnementales, font clairement partie des objectifs stratégiques de son ambitieuse économie planifiée. Aujourd’hui déjà, un tiers de toutes les nouvelles cellules solaires installées est fabriqué en Chine. En 2008, la Chine a investi près de 35 milliards de dollars dans des énergies alternatives. Elle démontre ainsi que les défis du futur ont été identifiés, même si la transposition dans le grand Empire n’est pas encore toujours une réussite.

    Aucun autre pays n’a construit autant que la Chine depuis 2000. Du spectaculaire comme le stade olympique ou le nouveau centre télévisuel de Beijing, des palais des expositions, des stades sportifs, des ponts gigantesques, des musées impressionnants ou des villes entières de centaines de milliers d’habitants. La première exposition universelle organisée par la république populaire de Chine a fermé ses portes le 31 octobre. Elle a été, avec son impressionnante architecture et son succès auprès du public, une exposition des superlatifs. Cela montre clairement que : l’Empire du Milieu se réinvente totalement sur un plan architectural et pose les jalons d’un modèle de construction unique. Il doit toutefois trouver la parade pour ne pas y perdre sa propre identité. Les cabinets d’architectes européens sont également très actifs en Chine. Comment les constructeurs chinois vivent-ils cette situation ? Qu’est-ce qui rapproche et qu’est-ce qui sépare l’Orient et l’Occident ? Lightlife a rencontré deux architectes de renom en Chine, pour un moment d’échange passionnant entre tradition et avenir dans l’Empire du Milieu.


    Selon vous, quelle est la différence majeure entre l’univers de l’architecture et du design en Orient et en Occident ?


    Kai Cui: La tradition architecturale européenne a produit des bâtiments dont émane une sorte de solidité, de durabilité et de symbolique, quelque chose de très fort. Cela donne aux gens une impression de combat avec les forces de la nature, comme une sorte « d’idée de civilisation ». Il s’agit toujours du combat avec la nature pour des ressources limitées. C’est pourquoi les églises et les édifices publics sont les constructions les plus importantes ; leur conception nécessite beaucoup de pierre ainsi que des colonnes et des portails très élégants. L’architecture asiatique est très claire et épurée.Elle aborde intelligemment la question du bâtiment et de la nature. Le matériau prédominant est le bois, tout est fonctionnel. Ce sont des concepts totalement différents. Actuellement, je reconnais un décalage avec l’architecture européenne. Les clients, les promoteurs, voire même les officiers gouvernementaux, aiment l’architecture inspirée des traditions européennes. Ils veulent d‘immenses bâtiments très solides et très élégants, qui utilisent une grande quantité de pierre. Ils veulent exploiter l’architecture pour véhiculer des notions de puissance, d’influence et de richesse. Je pense qu’un échange intéressant se déroule ici sur le plan conceptuel.

    Sherman Lin: L’ensemble du contexte culturel, l’Histoire, sont totalement différents. Cela se ressent également dans l’architecture. Si j’en crois mon expérience, les créateurs chinois apprennent actuellement beaucoup des européens. Ils apprennent des architectes européens, car leur pensée est, comment dire, plus moderne. Le design chinois est plus traditionnel. Aujourd’hui, cette toute nouvelle approche exaspère avant tout de nombreux investisseurs. Ils veulent se différencier simplement.


    Attendez-vous des transformations en ce qui concerne l’approche artistique ?


    Kai Cui: Les architectes européens ont appris énormément des asiatiques au cours du dernier siècle. Ils ont appris l’intérêt majeur que présente un espace qui communique avec l’environnement naturel. Je pense donc que nous voyons, dans la philosophie, un glissement des idées européennes vers l’Asie. Je pense que, avec la mondialisation qui gagne de plus en plus de terrain, la communication est extrêmement facilitée. Et la Chine est désormais l’une des scènes majeures pour les architectes du monde entier.

    Sherman Lin: Je suis convaincu que les différentes cultures vont se concentrer encore plus sérieusement sur leurs propres valeurs à l’avenir. En cette ère multiculturelle, la Chine se devait de conserver sa culture et sa tradition. Toutefois, les créateurs chinois devaient emprunter un peu de technologie et quelques éléments culturels au design européen.


    Les aspects tels que la durabilité, la préservation des ressources, l’efficacité énergétique de la construction, sont-ils déjà d’actualité en Chine aujourd’hui ?


    Kai Cui: La thématique environnementale concerne tout le monde. Sur ce point nous devons trouver des solutions ensemble. Il ne s’agit pas là de formes ou de styles, il s’agit de la civilisation humaine. C’est quelque chose qui nous rassemble tous. En fait, au cours des dix dernières années, le gouvernement chinois a établi un nouveau code pour la construction traitant des questions d’économies d’énergie. Il est actuellement en cours de ratification.

    Sherman Lin:
    Avec l’expo universelle de Shanghai, la Chine a prouvé combien le thème de la durabilité nous tient à cœur. En collaboration avec des architectes européens, je constate justement toujours que, naturellement, la recherche de la solution la plus écologique est bien ancrée dans le processus de planification. En Chine, nous comptons un nombre d’habitants incroyablement élevé qui doivent se partager des espaces restreints. Voici le véritable défi : nous devons apprendre à nous débrouiller avec l’espace disponible et ne pas perdre de place.


    Selon vous, qu’est-ce que les architectes européens peuvent apprendre des architectes chinois ?


    Kai Cui: Actuellement, c’est plutôt aux architectes chinois d’apprendre des européens. Si je regarde l’architecture contemporaine, je vois des architectes chinois qui travaillent très dur à une multitude de projets, qui projettent beaucoup de choses à court terme, et ce pour un prix extrêmement faible. Je ne crois pas que les architectes européens aient quelque leçon à en tirer. Je pense que l’idéal serait une collaboration ouverte, qui permettrait aux architectes européens d’en apprendre bien plus sur la culture chinoise à l’occasion de projets en Chine. Ils pourraient ainsi mieux appréhender notre façon de penser. Nous avons également quelques méthodes intéressantes pour la manipulation de matériaux locaux et sur la mise en œuvre sur les chantiers.

    Sherman Lin:
    La société est relativement différente. La société chinoise repose davantage sur des valeurs traditionnelles, comme par exemple la famille. Cet aspect ainsi que des aspects locaux doivent se refléter dans les éléments de design. En ce sens, ils se différencient un peu des Européens. Ainsi, j’espère que notre position et le style de vie européen arriveront à une symbiose qui engendrera de nouveaux projets passionnants.


    Voyez-vous la mondialisation comme un danger ou comme une opportunité ? Estimez-vous qu’elle entraîne une perte de l’identité culturelle ou, au contraire, un enrichissement ?


    Kai Cui: Au cours de la dernière décennie, une modernisation de l’architecture s’est produite. Le style international de l’Europe est alors devenu un problème. Lorsque vous érigez le bâtiment maître, il doit ressembler à ça et à ça, être totalement typique, rentrer dans des cases… C’est le « style boîte d’allumettes ». Beaucoup de gens dénoncent cette situation et veulent que cela change. Parmi les architectes chinois, la discussion est ouverte depuis de très nombreuses années : comment conserver notre identité, notre culture et notre tradition ?

    Sherman Lin:
    Je pense que la mondialisation est fondamentalement quelque chose de bon. Mais je pense également que les différentes cultures doivent conserver leur identité. Je me demande comment cela fait son chemin en Chine. De très nombreux styles européens sont visibles en Chine et, d’après mon expérience, bien trop d’influences américaines. Nous devons trouver notre propre voie. Car, c’est justement la différence qui rend le monde encore plus fabuleux et excitant.


    Pouvez-vous me citer un exemple d’un lieu où l’on constate cette évolution en Chine ?


    Kai Cui: Le nouveau terminal d’aéroport 3 de Norman Foster est, selon moi, un projet qui illustre très bien cette évolution. Il reflète la culture chinoise. Le toit et les plafonds sont superbes. J’aime les couleurs et la lumière naturelle. C’est étonnant, lorsque vous regardez ce bâtiment vous vous dites immédiatement : c’est la Chine !


    Images: Publication sans honoraire avec la mention : Zumtobel

  • 11/2010
    Solutions lumière

    Une clinique à Offenbach

    La force tranquille
    Des structures optimisées, des couleurs vives, des solutions d’éclairage sophistiquées, conformes aux exigences accrues qui s’imposent aux bâtiments de santé et de soins en termes d’assistance médicale moderne.
    Plus d’informationsMoins d'informations
    La nouvelle clinique d’Offenbach est la plus moderne de la région Rhin-Main. Elle offre des soins et un hébergement à la pointe du progrès. Des structures de bâtiments optimisées, des couleurs vives, des solutions d’éclairage sophistiquées et un concept d’orientation intelligent, conformes aux exigences accrues qui s’imposent aux bâtiments de santé et de soins en termes d’assistance médicale moderne.

    Une infrastructure idéale pour l’acheminement des patients, un équipement médico-technique de pointe, un agencement des espaces bien pensé et des concepts de couleurs, de matériaux, d’éclairage et d’espace libre :voici les caractéristiques du nouveau bâtiment abritant la clinique d’Offenbach. Celles-ci permettent de garantir la meilleure assistance possible aux patients, des conditions de travail agréables aux employés et le maximum de bien-être à tous les individus du bâtiment pour l’avenir. L’éclairage y contribue en grande partie : des lampes haut de gamme sans éblouissement assistent les employés dans leurs fonctions. La lumière dans les chambres des patients favorise la guérison. Des solutions d’éclairage intelligentes facilitent l’orientation des visiteurs.

    Avec une surface utile de plus de 29 000 m2 et une surface au sol de près de 60 000 m2, le nouveau bâtiment de la clinique d’Offenbach abrite suffisamment d’espace pour accueillir six centres de compétences, les services de soins, de soins intensifs, de chirurgie, de recherche et de thérapie ainsi qu‘une division technique d’exploitation. Le nouveau bâtiment sur sept niveaux a été dessiné par woernerundpartner. Petra Wörner, architecte et directrice du bureau de planification de Francfort, décrit l‘architecture du bâtiment en forme de peigne, doté de quatre ailes, comme « disciplinée, sans pathos mais pas sans poésie».

    Le plan évolutif offre une flexibilité face aux processus de travail qui changent. Le bâtiment massif est désormais en mesure d’adapter de courts chemins pour les patients, les employés et les visiteurs, et même de s’adapter en termes d’architecture. De plus, il est encore possible d’agrandir les locaux à gauche et à droite du dos du peigne. La zone publique comprend le grand hall d‘accueil, une cafétéria sur deux niveaux, la zone commerçante, une chapelle et une salle de prière musulmane. Au rez-de-chaussée se trouvent les espaces de chirurgie et de diagnostic. Au-dessus, se trouvent les unités de soins structurées en forme de peigne, avec 724 lits et les bureaux associés.

    Lors de l’organisation des espaces publiques du nouveau bâtiment, les architectes ont opté pour des couleurs chaudes et beaucoup de lumière comme élément central. Avant même d’entrer, la façade transmet déjà une convivialité dynamisante et s’éclaire de tons rouges vifs. Sa grande transparence crée une certaine légèreté, une profusion de lumière et de couleurs. Dans le hall d’entrée sur deux niveaux, tout visiteur qui franchit l‘entrée principale se voit accompagné par un concept d’éclairage harmonieux composé de plafonniers Panos et de solutions spéciales de lampes à encastrer Slotlight, pour une orientation rapide. La chaleur du rouge du sol rayonne sur les éléments muraux et éléments de plafond blancs, et confère à la grande salle chaleur et douceur. Un système de guidage conçu spécialement avec des touches colorées et des motifs aide les patients et les visiteurs à trouver rapidement le service ou l’unité souhaitée dans tous les espaces publics.

    Les chambres des patients des 13 unités de soins sont claires et conviviales. Elles sont pourvues d‘éléments de menuiserie haut de gamme encastrés, dans lesquels l’unité de soins médicale Conboard est également intégrée. Le concept confortable et chaud de couleurs et de matériaux basé sur des nuances sable et terre dans les salles de soins pour patients adultes est relayé par des couleurs vives dans l‘unité pédiatrique, lesquelles rayonnent d‘un mur de la chambre sur les lits des enfants.

    Des lampes encastrées Slotlight assurent la clarté et le confort de l’éclairage des couloirs : quatre lampes formant un carré font ressortir les points d’intersection. Dans les escaliers, des lampes Linaria épousent le tracé des marches et se font le pendant attrayant des garde-corps. L’orientation et le guidage dans ce grand édifice sont également assurés par les nombreux rapports visuels entre les différentes parties du bâtiment ainsi que par les cours intérieures, dont les agencements et les coloris diffèrent. Les thèmes de couleur rouge, jaune et vert de ces dernières offrent toujours de nouvelles nuances, selon le moment de la journée et la période de l’année. L’architecture du nouveau bâtiment offre en outre, grâce à sa façade sciemment ouverte en de nombreux points, une vue sur les quartiers environnants de la ville et son intégration visuelle dans l’installation.




    Informations sur le projet : Klinikum Offenbach
    Maître d'ouvrage : Stadt Offenbach/All
    Architecture / Planificateur de l'eclairage : woernerundpartner, Francfort/All
    Planificateur de l'éctricité/ Planificateur de l'éclairage : Brendl Ingenieure, Francfort/All
    Installation
    de l'éctricité :
    Bauer Elektroanlagen GmbH, Halle/All
    Solution lumière : Zumtobel
    » Plafonniers PANOS,
    » lampes encastrées SLOTLIGHT,
    » baguettes lumineuses LINARIA,
    » projecteurs ARCOS,
    » luminaires pour salles blanches CLEAN SUPREME,
    » unité de soins médicaux CONBOARD,
    » lampes à monter PURELINE



    images : Publication sans droit d’auteur avec la mention Zumtobel
  • 11/2010
    Produits

    Gamme de downlights à LED Panos Infinity

    Nouvelle dimension d'efficacité et de dynamique de températures
    Un éclairage pour les exigences les plus pointues : avec sa nouvelle gamme de downlights à LED Panos Infinity, Zumtobel transpose au présent l'efficacité et le design du futur.
    Plus d’informationsMoins d'informations
    Un éclairage pour les exigences les plus pointues : avec sa nouvelle gamme de downlights à LED Panos Infinity, Zumtobel transpose au présent l'efficacité et le design du futur. Des formes minimalistes et une efficacité lumineuse de jusqu'à 77 lumens/watt indiquent que la technique LED de pointe a entretemps dépassé les lampes fluocompactes classiques en termes d'efficacité et de qualité de lumière. Le concept de Christopher Redfern projette la gamme à succès de downlights Panos dans une dimension moderne. Le flux lumineux de plus de 1 800 lumens du luminaire s'obtient avec une puissance absorbée de 27 watts, dans la version de 2 400 lumens, le downlight Panos Infinity se contente de 36 watts. De ce fait, l'efficacité du downlight à LED dépasse de plus de 70 % celle de lampes fluocompactes conventionnelles. La grande qualité de lumière avec une température de couleur stable ouvre de nouvelles dimensions dans l'éclairage de haut niveau. Une technologie LED speciale permet d'obtenir une température de couleur stable de 3000 ou 4000 kelvins sur toute la durée de vie de 50 000 heures ainsi qu'un excellent rendu des couleurs de plus de Ra 90.

    La gamme de downlights est pour la première fois aussi proposée avec une exceptionnelle dynamique des températures de couleurs. Le Panos Infinity Tunable White permet de reproduire les variations de la lumière naturelle au cours de la journée si bien que l'utilisateur peut adapter de manière flexible la température de couleur dans la plage de lumière blanche. La gamme de températures de 2700 à 6500 kelvins améliore non seulement la qualité de la perception, elle crée aussi des attrape-regard, fait ressortir des couleurs et soutient le rythme biologique humain. Le réglage des différents tons de blanc s'opère sur l'élément de commande Circle Tune ou sur l'Emotion Touch Panel.

    Christopher Redfern illustre avec son concept les immenses possibilités de formes innovantes qu'offre la technologie LED. La transition harmonieuse entre la chambre lumineuse LED et le réflecteur fait disparaître la source. Avec une collerette nettement réduite, le downlight s'intègre harmonieusement dans l'architecture. Le nouveau modèle de downlight sans cadre constitue un magnifique élément architectonique. Le designer s'est exprimé à propos de son concept : « Avec ce downlight, j'aimerais créer une lumière qui se rapproche le plus possible de la lumière du jour. Une lumière aux températures de couleur agréables pouvant s'adapter aux préférences des utilisateurs. »

    Ce système de luminaires offre une efficacité unique sur le marché. Celle-ci est obtenue par un fusionnement exceptionnel entre une technique spéciale, des matériaux de haute qualité et un grand savoir-faire en matière de technique d'éclairage. Le résultat est le « Infinity Optical System (IOS) ». Pour obtenir un rendement optimal des LED et une grande durée de vie du système, Zumtobel a attaché une importance particulière au refroidissement. Et est parvenu à développer un système de refroidissement passif pour le module LED qui améliore nettement les caractéristiques d'utilisation de ce downlight. Panos Infinity est graduable en standard via DALI et offre ainsi des possibilités d'économie d'énergie supplémentaires fort attrayantes.

    Panos Infinity se décline dans deux diamètres : 150 et 200 mm et présente une profondeur d'encastrement de 100 mm dans la version basse et de 140 mm dans la version haute. Avec les quatre modèles de réflecteurs et la version sans cadre, ainsi qu'avec les accessoires décoratifs, il permet de réaliser des solutions lumière optimales pour toutes les applications.

    La structure modulaire du downlight Panos Infinity souligne sa vocation futuriste. La chambre lumineuse LED et le refroidissement passif forment une unité qui peut être séparée sans outil de l'appareillage et du réflecteur. Ainsi, le remplacement du module LED s'opère sans problème.

    La gamme de downlights Panos Infinity bénéficie d'une garantie de cinq ans, appareillage et LED compris. Toute la gamme de produits porte aussi le label eco+, développé par Zumtobel pour caractériser des produits particulièrement efficaces en énergie.

    » À la famille de produits PANOS INFINITY



    images : Publication gratuite avec la mention : Zumtobel 

  • 10/2010
    Produits

    Ondaria - une lumière douce

    La forme et la lumière créent une ambiance de bien-être
    Le luminaire rond opale Ondaria se montre d'une grande flexibilité : il peut être équipé de LED ou de lampes fluocompactes, monté en luminaire encastré ou apparent et se décline dans trois tailles.
    Plus d’informationsMoins d'informations
    Dans le luminaire rond Ondaria de Zumtobel, le concept et l'effet d'éclairage sont sur la même longueur d'onde. Avec ses contours tout en douceur et sa silhouette agréable, Ondaria s'intègre souplement dans chaque structure de pièce et laisse la forme parler pour lui. Avec son éclairage uniforme, le luminaire rond séduit par son éclairage général sympathique qui crée une ambiance harmonieuse dans les halls d'entrée et foyers, dans les salles de séjour et de communication ainsi que dans les couloirs et cages d'escaliers. Ondaria est disponible en luminaire à LED ou en luminaire à lampes classiques. Se déclinant dans trois tailles et trois possibilités de montage : encastré, apparent ou suspendu, il témoigne d'une grande capacité d'adaptation.

    Malgré sa stricte géométrie de base, Ondaria se présente comme un luminaire sans angles ni arêtes. « Sa surface concave, bombée vers l'intérieur lui confère une plasticité particulière et crée un effet de profondeur » explique Stefan Ambrozus, le concepteur du luminaire Zumtobel.

    L'agréable éclairage de base qui caractérise le luminaire est dû à la composante directe : la vasque opale adoucit la lumière qui se répand de manière uniforme dans la pièce en créant une ambiance incomparable. Avec le luminaire encastré, la composante indirecte éclaircit légèrement le plafond et réduit visuellement la hauteur du luminaire. Les douces formes arrondies de l'Ondaria s'intègrent harmonieusement dans n'importe quel concept d'aménagement - dans les espaces de prestige comme dans les salles de bureau. Car l'optique à réduction des luminances (optique LRO) disponible avec l'Ondaria de taille moyenne assure une excellente protection contre l'éblouissement ainsi qu'une distribution lumineuse optimale pour les postes de travail informatisés. L'Ondaria a encore d'autres atouts : il se laisse graduer et commander confortablement avec le concept éprouvé dim2save / LDE.

    Ondaria s'inscrit dans l'esprit du temps et offre, outre les versions à lampes classiques, également une version LED à lumière blanche stable. L'efficace technologie LED permet de réduire la puissance raccordée de jusqu'à 58 % et fournit une agréable lumière blanc neutre de 4000 K avec une excellente qualité de rendu des couleurs Ra > 80. La version LED présente pourtant le même aspect que les versions à lampes fluorescentes. En raison de sa grande durée de vie de 50 000 heures et de la stabilité de couleur, I'Ondaria LED se classe parmi les luminaires exempts d'entretien.

    L'Ondaria permet trois types de montage : en luminaire encastré, apparent ou suspendu. Le disque opale se place sans outil par le bas. Une suspension par câble de deux ou de quatre mètres assure une suspension flexible du luminaire. Pour l'encastrement, un cadre d'encastrement séparé est disponible pour chacun des trois diamètres. Un kit de montage supplémentaire facilite l'installation.

    » À la famille de produits ONDARIA



    images : Publication gratuite avec la mention : Zumtobel

  • 09/2010
    Entreprise

    La lumière au pays du milieu

    Ouverture du centre lumière Zumtobel à Shanghai
    Inauguration officielle du nouveau centre de la lumière à Shanghai. Plus de 120 architectes, concepteurs et partenaires commerciaux étaient charmés par l'ambiance festive de cette soirée.
    Plus d’informationsMoins d'informations
    Le 28 septembre, Zumtobel célébrait la fête d'inauguration du premier centre lumière du continent asiatique. L'espace d'administration et d'exposition de plus de 240 m² présente des solutions innovantes pour diverses applications. Le centre lumière de Shanghai est plus particulièrement centré sur les domaines : bureau et communication, hôtel et bien-être, art et culture ainsi que magasins et boutiques. L'entretien et le développement des relations clients par des manifestations architectoniques de haut niveau sont une des missions essentielles de lieux de communication d'éclairage. Mais le travail et les rencontres directes dans les centres lumière doivent aussi traduire la philosophie lumière de Zumtobel : l'application d'abord, puis le produit. Maintenant, Zumtobel offre, dans ses trois forums de la lumière et ses quinze centres lumière, une qualité de rencontre qui dépasse largement la présentation de produits.

    Au centre lumière de Shanghai, 14 collaborateurs Zumtobel assurent le suivi du marché chinois. La conquête et le développement des marchés hors-Europe est précisément un des grands objectifs de Zumtobel pour les années à venir. Avec des solutions lumière de haut niveau et des produits de qualité, Zumtobel a déjà pu réaliser de prestigieux projets aux cours de ces dernières années. Citons par exemple la Beijing Fine Art Academy, le Huawei Building Complex à Shanghai ou le Zhejiang Art Museum à Hangzhou. Il appartient à ce nouveau centre lumière de consolider la présence de l'entreprise de luminaires du Vorarlberg dans cette importante région de croissance.

    Martin Böwe, directeur des marchés émergents : « L'espace économique chinois en pleine croissance est d'un intérêt capital pour Zumtobel. Le nouveau centre lumière qui vient de s'ouvrir à Shanghai nous permet de présenter encore plus efficacement les solutions innovantes et produits de qualité de nos partenaires et clients. Nous soulignons également par là que le marché asiatique a une grande importance stratégique pour nous. Dans les prochaines années, nous voudrions nous établir dans cette région comme le fournisseur de solutions lumière haut de gamme.

    Zumtobel fut la première entreprise de luminaires à concevoir dès les années 1980 des présentations orientées application dans des cubes, ce qui permettait de montrer les effets de la lumière de manière très spectaculaire. Sur base de ce concept, le premier forum de la lumière a ouvert ses portes en 1996 à Vienne. Avec ce projet, Zumtobel signalisait que, de producteur de luminaires, il était devenu le spécialiste de solutions lumière professionnelles. Depuis lors, l'entreprise Zumtobel n'a cessé de consolider cette fonction. Incarnant la vision de transmettre la passion pour la lumière, ces lieux créent des mondes de sensations et de perceptions qui montrent toute la force de conception de ce matériau polyvalent qu'est la lumière. L'idée de base prévoit aussi la création - avec la collaboration d'architectes de renom - de sites qui, tenant compte des caractéristiques locales, créent néanmoins une relation avec l'objectif global. C'est ainsi que l'aménagement du forum de la lumière de Vienne est signé Hans Hollein, celui du centre de la lumière de Berlin fut confié aux architectes Sauerbruch-Hutton, et à Lemgo, le concept est dû aux architectes Bolles + Wilson.


    images : Publication sans honoraire avec la mention : Zumtobel

  • 09/2010
    Solutions lumière

    Un éclairage de grande classe et flexibilité

    Le magasin Globus économise jusqu'à 30 % d'énergie
    Plus de lumière, moins d'énergie : dans le grand magasin Globus, le shopping est un véritable plaisir. Le système de chemin lumineux Tecton parvient à accentuer les articles par son éclairage flexible et efficace.
    Plus d’informationsMoins d'informations
    La chaîne de magasins libre-service Globus mise dans tous les domaines sur la qualité. Même la physionomie de ses magasins doit répondre à des critères très sévères. Dans ce sens, le rayon alimentaire du magasin Globus de Saarbrücken vient d'être entièrement rénové. L'ancien éclairage a été modernisé et la charge énergétique a ainsi pu être réduite de jusqu'à 30 %. Là où avant, d'une hauteur de trois mètres et demi, des chemins luminaires à lampes 58 W et des luminaires pour rayonnages 36 W éclairaient les aliments, des luminaires linéaires 1/49 W dotés d'une optique pour rayonnages de haute qualité (optique RSR) assurent un éclairage général clair et sympathique. Du fait de leur principe modulaire, les luminaires pour chemins lumineux modernes de Zumtobel offrent une solution polyvalente pour l'éclairage du vaste assortiment du magasin, variant en partie selon les saisons.

    Après d'importants travaux de transformation, le magasin de 14 000 m² se présente maintenant sous un nouvel éclairage. Non seulement l'éclairage, le système de réfrigération a lui aussi été renouvelé, le magasin s'est en outre doté de rayons plus faciles d'accès et d'un comptoir des produits frais plus convivial. « Nous avons mis beaucoup de temps à élaborer le nouveau concept de magasin, tel qu'il a été réalisé ici » explique Markus Wahlen du département construction de Globus et il ajoute : « L'excellente combinaison de chemins lumineux pour réaliser un éclairage général brillant et uniforme et de projecteurs pour créer des effets isolés a fini par nous convaincre. Grâce à notre collaboration avec Zumtobel depuis déjà quatre ans, nous avons pu réaliser rapidement le concept d'éclairage dans la qualité qui fait notre renom. » Dans les couloirs, le système de chemin lumineux Tecton a été doté de différents luminaires et optiques de manière à obtenir un éclairage uniforme et sans éblouissement dans toutes les zones. Le rail porteur multifonctions avec un profilé conducteur de 11 pôles intégré permet d'utiliser une grande variété de lampes, d'optiques et de modules d'éclairage et de les changer au besoin.

    Les luminaires linéaires de Zumtobel équipés de lampes 1/49 W n'ont besoin que de 12 watts par mètre carré. Dans l'éclairage des rayonnages, le grand avantage du système de chemin lumineux Tecton est son uniformité et les éclairements verticaux. Même installés à une hauteur de plus de trois mètres, les luminaires éclairent encore les rayonnages inférieurs conformément aux normes. Pourtant, ce concept d'éclairage consomme jusqu'à 30 % en moins d'énergie qu'avant.

    C'est la première impression qui compte lorsqu'on pénètre dans un magasin ou un supermarché. Aussi les responsables de Globus ont-ils utilisé l'optique dite "poollight" en matière plastique opale pour l'éclairage d'accès au rayon alimentaire. Elle séduit par des luminances très étalées et uniformes. Avec leurs surfaces légèrement arrondies, les luminaires aident les clients à s'orienter et les accompagne jusqu'à l'intérieur du magasin. Dans les couloirs, les luminaires linéaires sont complétés par différents systèmes de projecteurs. Ceux-ci servent à l'accentuation des produits et perfectionnent l'impression haute qualité des marques. Au rayon fruits et légumes, ce sont des projecteurs Proton à lampes HIT 70 W qui assurent l'éclairage. En raison de l'excellent rendu des couleurs surtout dans la plage rouge, ces luminaires de magasin sont parfaits pour l'éclairage des produits. Leur lumière fortement dirigée fait brillamment ressortir les marchandises sur palettes des îlots de vente. En même temps, ils permettent de varier la position des têtes orientables en cas de changement de la présentation.

    Au-dessus des comptoirs à fromage, charcuterie et poisson, des downlights encastrés orientables assurent une présentation optimale des produits frais. Des réflecteurs spéciaux ainsi que des filtres viande/charcuterie assurent un éclairage sans UV ni IR. Les marchandises gardent ainsi leur fraîcheur et leur couleur naturelle. Les projets de transformation d'autres magasins Globus ainsi que le magasin de Zell an der Mosel, déjà rénové avec des luminaires de Zumtobel, témoignent d'une grande satisfaction du client et d'une haute qualité de l'éclairage.



    Données concernant le projet : SB-Warenhaus Globus, Saarbrücken/All
    Maître d'ouvrage : Globus SB-Warenhaus Holding GmbH & Co. KG, St.Wendel/All
    Études de l'éclairage : Globus Bauabteilung, St. Wendel/All
    Installation électrique : Wahlen & Schabbach, Weiskirchen/All
    Solution lumière : Zumtobel
    » Système de chemin lumineux TECTON,
    » luminaires pour locaux humides SCUBA,
    » downlights PANOS


    images : Publication gratuite avec la mention : Zumtobel
  • 08/2010
    Solutions lumière

    L’éclairage à LED fait resplendir l’art

    Le Museum für Kunst und Gewerbe doté d’une nouvelle solution lumi
    Dans le musée restauré de l'art et de l'artisanat, Supersystem, le système d'éclairage à LED déploie tout son savoir-faire : avec brio et élégance, il fait ressortir toutes les facettes des tableaux et sculptures.
    Plus d’informationsMoins d'informations
    Depuis peu, les visiteurs du Museum für Kunst und Gewerbe de Hambourg sont accueillis dans un hall à la lumière traversante. De nouveaux axes visibles à travers le bâtiment, permettent aux visiteurs de mieux s’orienter et laissent largement la lumière du jour pénétrer dans ce bâtiment chargé d’histoire. L’architecture intérieure contemporaine y est renforcée par une solution lumière moderne qui inclut le Supersystem d’éclairage à LED de Zumtobel. Thomas Frey, le directeur technique du musée précise : « Dès le départ, nous avons privilégié une solution à LED et, grâce à la compétence de l’assistance technique de Zumtobel, nous sommes parvenus à un résultat très séduisant. »

    Le credo du cabinet d’architectes hambourgeois MRJ-Architekten, chargé notamment de la transformation de l’espace d’accueil, était « plus de lumière ». En collaboration avec l’architecte d’intérieur Renate Müller, le musée a été rénové en plusieurs de tranches de travaux. Les anciennes surfaces d’entreposage sont devenues des locaux administratifs modernes, la direction du musée s’est même vue adjoindre un bâtiment dans la cour intérieure. Le nouveau portail principal est désormais un élément pivot de l’ensemble : le foyer adjacent est transformé en un espace d’accueil lumineux et convivial, avec une librairie et des surfaces pour les expositions spéciales.

    Avec une moyenne de 250 000 visiteurs par an, le Museum für Kunst und Gewerbe, vieux de plus de 130 ans, compte parmi les musées d’art et d’industrie les plus importants en Europe. La restauration et la remise en état de l’entrée principale devraient créer un vaste espace d’accueil, d’attente et pour les caisses qui permettra la prise en charge convenable des flux de visiteurs toujours plus nombreux et qui facilitera leur orientation. La transformation du bâtiment, s’élevant à quelque 9 millions d’euros, a été financée par plusieurs fondations et sponsors, dont la fondation Hermann Reemtsma, et Harald Hartog, sponsor principal.

    Les plafonds historiques en stuc ont été totalement dégagés et restaurés, les parois en plaques de plâtre sur le devant retirées et les portes intermédiaires des ailes latérales déplacées. Les restes maintenus en place ont permis de reconstruire intégralement les piliers autrefois intégrés dans les murs, avec leurs socles et leurs chapiteaux. De cette manière, ils ne restituent pas seulement sa splendeur initiale à la zone d’entrée mais ils réintègrent leur fonction porteuse pour la voûte d’arête. Discrets, des luminaires spéciaux intégrés assurent une ambiance agréable avec un éclairage indirect sur les plafonds. Dans le sens est – ouest, le regard porte librement jusqu’au portail ouest, à l’opposé, qui est dégagé de ses murs et agrémenté d’une porte vitrée, à l’instar du portail principal. L’axe médian central est désormais éclairé par le soleil du matin et du soir. Un coup d’œil sur les salles d’exposition depuis l’extérieur par la porte vitrée éveille la curiosité et fait optiquement le lien entre les divers secteurs du bâtiment.

    C’est madame le professeur Sabine Schulze, la directrice du musée, qui a eu l’idée d’utiliser le Supersystem à LED de Zumtobel, afin de placer les œuvres d’art sous le bon éclairage dans les salles d’exposition. Installé pour la première fois au musée Städel à Francfort, le système, d’aspect extrêmement discret avec son filigrane de profilés en aluminium, a convaincu Madame Schulze. Grâce au Supersystem à LED multifonctions, la consommation électrique est réduite au minimum. Les diodes, réparties chacune en groupes de trois sur la face inférieure des luminaires suspendus n’absorbent que 2,5 W de puissance. Orientées vers le bas elles produisent un éclairage général agréable dans les zones de stationnement et les espaces d’exposition. Afin de pouvoir éclairer les objets d’art de manière très ciblée et depuis différentes directions, il est possible de les sortir et de les orienter avec précision sur une œuvre. Pour ne pas détériorer les couleurs sur les peintures fragiles et les sculptures délicates, la lumière est exempte de rayonnement ultraviolet et infrarouge. La composante indirecte de l’éclairage est assurée par des lampes fluorescentes, à la luminance réglable. Le Supersystem a été adapté aux vitrines d’exposition où il s’intègre d’une manière discrète et efficace.

    Diverses ambiances d’éclairage sont déjà entrées dans le programme et peuvent être sélectionnées depuis le tableau électrique. Elles permettent d’optimiser l’équilibre entre les objets exposés, la décoration et l’éclairage, ce qui procure au visiteur un sentiment global d’harmonie.



    Informations sur le projet : Museum für Kunst und Gewerbe, Hambourg/All
    Maître d’ouvrage : Ville de Hambourg
    Architecte pour le plan directeur : MRG Architekten, Hambourg/All
    Architecte pour la restauration du musée : MRJ Architekten, Hambourg/All
    Étude de l’éclairage – plan directeur : Peter Anders Lichtplanung, Hambourg/All
    Solution d’éclairage : Zumtobel
    luminaires spéciaux pour les couloirs et les zones de circulation
    » Supersystem, modèle suspendu, équipé chacun de 3 superspots à LED de 2,5 W avec éclairage indirect réglable,


    Images : Publication gratuite avec la mention : Zumtobel
  • 06/2010
    Solutions lumière

    Fascination lumière

    La Bauarena en Suisse reçoit un éclairage de façade à LED de Zumtobe
    Une exceptionnelle installation lumière de Zumtobel accroît l'attrait du bâtiment de Bauarena dans la localité suisse de Volketswil.
    Plus d’informationsMoins d'informations
    100 lignes lumineuses à LED plongent de nuit le bâtiment de Bauarena dans la localité suisse de Volketswil dans un bain de lumière animée. Le rouge des séquences couleur est parfaitement accordé au logo de Bauarena. Cette exceptionnelle installation lumière de Zumtobel accroît l'attrait du bâtiment. Elle souligne l'importance d'un éclairage de façade de haute qualité en tant qu'attire-regard et porteur d'image. Une commande intelligente permet de créer - à la demande - jusqu' à 15 différentes ambiances lumineuses.

     

    Le bâtiment de Bauarena attire déjà l'attention par son imposante superficie de 25 000 mètres carrés, répartie sur cinq étages. Ce centre de compétences suprarégional traitant toutes les questions liées à la construction se trouve au second rang le long d'un des principaux axes routiers de Volketswil. « Nous voulions exploiter l'énorme superficie à tous points de vue - pas seulement de jour, mais également de nuit, lorsque les touristes, les habitants et les hommes d'affaires passent devant notre bâtiment » se souvient Peter Aschwanden, directeur de projet de Allreal Generalunternehmung AG. Aujourd'hui, la nuit, des lignes lumineuses à LED dynamiques de Zumtobel donnent vie à la façade.

    L'éclairagiste Linda Bohorc de HEFTI. HESS. MARTIGNONI. Zürich AG a élaboré le concept d'éclairage. Son résumé : « Avec cet éclairage de façade à LED, nous avons réussi à créer une installation lumière fascinante qui confère à Bauarena une identité unique. » Près de 100 lignes lumineuses LED Hilio, de 39 W de puissance chacune, à variation de couleur et de la hauteur d'une fenêtre, ont été montées sur la façade du bâtiment colossal. Accordées au logo rouge de Bauarena, elles illuminent le bâtiment de nuit dans différentes intensités. Afin d'obtenir un mélange chromatique optimal et d'empêcher que les différents points LED ne soient visibles, on a utilisé un tube linéaire satiné. Une installation DMX pilotable via la technique du bâtiment assure de fascinantes variations d'intensité de chaque ligne lumineuse à LED.

    Il est possible d'enregistrer et d'activer au besoin jusqu'à 15 différentes ambiances lumineuses sur l'enregistreur DMX. La sélection des variations de couleur et d'intensité avec une commande professionnelle permet d'obtenir une composition lumière pleine de facettes qui confère au bâtiment un rayonnement harmonieux. Les possibilités sont multiples – même les saisons peuvent être suggérées sur la façade par des couleurs aux tons chauds ou froids.

    La Bauarena offre un jeu d'architecture et de lumière parfaitement accordé : dans le but de créer une façade d'un grand impact publicitaire, les architectes lui ont donné un aspect homogène que vient soutenir la construction discrète des luminaires. La solution résulte d'une combinaison de deux niveaux architecturaux différents : le premier niveau à l'avant réalisé en tôle à ondes trapézoïdales fait office de rideau transparent et sert en même temps de protection solaire. Selon l'angle de vue, la tôle laisse apercevoir le niveau se trouvant derrière, de couleur sombre, qui réduit ainsi l'aspect marqué des fenêtres. Grâce à l'éclairage dynamique, la façade en tôle perforée perd son caractère fermé et statique. Le spectacle lumière nocturne laisse pulser la lumière près des baies de fenêtre et offre d'intéressants effets de lumière et de miroir.



    Élements du projet :
    Bauarena, Volketswil/CH
    Maître d'ouvrage : Allreal Generalunternehmung AG, Zürich/CH
    Architecte : Nüesch & Partner Architekten, Volketswil/CH
    Etude de l'éclairage : Linda Bohorc, HEFTI. HESS. MARTIGNONI. Zürich AG, Zürich/CH
    Conception du system électrique : R+B engineering ag, Sargans/CH
    Installation electrique : Elektro Compagnoni AG, Zürich/CH
    Solution lumière : Zumtobel
    » lumineuse à LED HILIO LED-RGB


    images : Publication gratuite avec la mention : Zumtobel
  • 04/2010
    Entreprise

    Études de concept sur la technologie OLED

    Zumtobel fait preuve de compétence d'application
    Avril 2010 - Au salon Light+Building 2010, Zumtobel présente des études de concept fascinantes de luminaires à LED organiques (OLED).
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    Au salon Light+Building 2010, Zumtobel présente des études de concept fascinantes de luminaires à LED organiques (OLED). Zumtobel combine les études de luminaires avec une grande compétence technologique et de vastes connaissances sur les applications pour aboutir à des solutions réalistes. Les concepts orientés clients à base d'OLED attestent que Zumtobel a investi très tôt dans les nouvelles technologies pour les transposer rapidement dans des concepts d'éclairage répondant aux besoins du marché. Le cadre adapté à cette présentation est le Future Cube, dans lequel as été réalisé un concept de bâtiment orienté vers l'avenir, conçu en collaboration avec le groupe Behnisch Architekten.

    Depuis plus d'une dizaines d'années, le groupe Zumtobel travaille sur la technologie LED d'avenir et a entamé depuis quelques années des activités de recherche sur la technologie OLED. La diode organique électroluminescente (OLED) est la première réelle source d'éclairage de surface de l'histoire. Une diode organique (OLED) se compose d'un système de couches très fines (d'env. 100 - 200 nanomètres), placé entre deux électrodes (une anode et une cathode). Posée sur un substrat en verre, cette source d'éclairage de surface ne fait même pas 2 millimètres d'épaisseur. Soumis à une tension électrique, le système de couches produit de la lumière qui sort par une des électrodes. Contrairement aux sources lumineuses conventionnelles, les modules OLED produisent un éclairage de surface d'une grande qualité de couleur, ressenti comme très agréable par l'œil humain. Un autre avantage : la lumière surfacique des OLED n'éblouit pas. Ces qualités font de l'OLED l'une des sources lumineuses les plus efficaces du futur. Les premiers modules OLED, avec lesquels Zumtobel est en mesure de réaliser des concepts de design, sont déjà fabriqués en série. Au salon Light+Building, trois études de concepts sur les luminaires OLED, illustrant toute la palette des possibilités de développement, seront exposés dans le Future Cube. Zumtobel présente d'une part une étude de concept très réaliste du studio de design Continuum et montre d'autre part des visions futuristes des bureaux d'architecture Sanaa et Behnisch Architekten.

    Continuum avec des concepts réalistes
    Continuum, le bureau de design milanais a conçu avec Zumtobel une famille de luminaires complète sur base des technologies OLED et LED/OLED hybride pour des applications de bureau haut de gamme. Le concept présente les possibilités de design et de rendement offertes actuellement par la technologie OLED. Pour l'instant, le flux lumineux des OLED (env. 20lm/W avec 1500cd/m²) est encore trop faible que pour pouvoir utiliser ces sources seules dans l'éclairage de postes de travail. C'est pourquoi les concepts présentés sont complétés par des LED qui n'affectent pas leur design.

    Klaus Vamberszky, Executive Vice President (EVP) Technologie du groupe Zumtobel parlant du concept : « Le concept de luminaire développé avec Continuum illustre les possibilités actuelles de la technologie OLED. Le flux lumineux des OLED de 20lm/W est encore trop faible que pour pouvoir utiliser ces sources seules dans l'éclairage de postes de travail. Aussi, Zumtobel sera le premier fabricant de luminaires à présenter une gamme de luminaires hybrides à LED/OLED au salon Light+Building 2010. Les LED sont utilisées pour projeter une lumière efficace sur le plan utile, tandis que les OLED assurent des luminances agréables dans le champ de vision. Les nouveaux luminaires hybrides de Zumtobel réunissent ainsi ce que l'une et l'autre technologie offrent de meilleur. Par leur forme extrêmement plate (< 3 mm) et leur éclairage uniforme, les OLED offrent dès à présent une grande liberté de conception. »

    La gamme de produits comprend :
    • Luminaire suspendu hybride OLED / LED
    • Luminaire de table hybride OLED / LED
    • Applique hybride OLED / LED
    • Applique uniquement à OLED

    Sanaa présente les visions de demain
    Sur un écran vidéo, le cabinet d'architectes japonais Sejima + Ryue Nishizawa / Sanaa présente la technologie OLED de manière visionnaire. Sanaa, qui vient de remporter le prix Pritzker, intègre de manière impressionnante la légèreté de l'éclairage surfacique de cette source dans des études de concept. Sous forme de croquis d'étude, les architectes présentent des concepts pour luminaires suspendus et luminaires de table, tout comme pour des écrans photoélectriques et des « Light Clouds » destinés aux différentes zones de bureau comme poste de travail, salle de réunion, espaces de détente et zones de réception.


    images : Publication sans honoraire avec la mention : 1 Zumtobel; 2,3 Continuum; 4,5 Sanaa Architects

  • 04/2010
    Produits

    La forme épouse celle de la LED

    Système de projecteur Discus
    Avec la série Discus, Zumtobel présente pour la première fois un design de projecteurs spécialement adapté pour la technologie des LED.
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    Avec la série Discus, Zumtobel présente pour la première fois un design de projecteurs spécialement adapté pour la technologie des LED. La forme plate et discrète du projecteur en aluminium moulé sous pression s’intègre dans toutes les architectures. La collerette à ailettes de refroidissement, élément de design dominant dans l’aspect du projecteur, permet de réaliser en même temps la fonction technologiquement importante du refroidissement. Le module à LED à haute puissance bénéficie d’un refroidissement purement passif grâce à la gestion thermique optimisée.

    Le trio EOOS de designers autrichiens, a pensé le développement de manière à minimiser les formes tout en exploitant la nouvelle technologie des LED. À ce sujet, Harald Gründl de EOOS explique : « Discus est le symbole archaïque du soleil – couplé à la technologie d’éclairage la plus moderne qui soit, celle de la LED. »

    La version à LED ne fait effectivement que 28 mm de large. Même la plateforme adaptateur/trackbox, de conception récente, présente une silhouette compacte, discrète et vient ainsi souligner le concept minimaliste du projecteur. Le Comité du Design a d’ailleurs attribué à Zumtobel l’iF Award 2010, une distinction récompensant le design exceptionnel d’un produit, pour cette gamme très esthétique.

    Les modèles pour lampes compactes à décharge à haute pression de 20 à 70 W, combinés à la technique éprouvée des réflecteurs Zumtobel, viennent compléter la gamme, avec des formes et des dimensions identiques. Les versions avec rails conducteurs et à encastrement au plafond du système de projecteurs Discus permettent donc de réaliser des solutions lumière globales et un éclairage efficace pour les espaces de vente, avec des sources de lumière très modernes. Les projecteurs sont orientables sur 360° dans le plan horizontal et sur +/- 90° dans le plan vertical ; ils sont en aluminium injecté et sont disponibles en noir, argent et blanc.

    » À la famille de produits DISCUS



    images : Publication sans droit d’auteur avec la mention Zumtobel

  • 04/2010
    Entreprise

    LED – L’âge de l’éclairage numérique

    Où en est-on de la technologie LED ?
    Questions et réponses issues du quotidien d’un architecte et d’un concepteur d’éclairage.
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    LED semble être le nouveau mot magique : A peine a-t-on prononcé ces trois lettres qu’un débat de polémique commence sur le pour et le contre de cette nouvelle technologie. D’un côté, les possibilités conceptuelles illimitées génèrent l’enthousiasme. De l’autre côté, l’absence de certitude pour les travaux d’études du fait de l’évolution fulgurante de cette technologie et l’apparition incessante de nouveaux intervenants sur le marché désorientent les concepteurs et les utilisateurs.

    Le fait est qu’avec la LED, la technique numérique est également intégrée dans l’industrie de l’éclairage. Et tout comme en informatique, les avancées sont aujourd’hui gigantesques. Ainsi, le Light+Building 2010 présente des solutions LED dont la performance dépasse largement la technique conventionnelle.

    Stefan Behnisch, qui fut le premier architecte, avec ses travaux d’études axés sur l’avenir, à réaliser des bâtiments équipés à 100 % d’éclairages LED, est convaincu que la nouvelle technologie aurait pu être depuis longtemps beaucoup plus implantée. „Etre plus courageux vis-à-vis des nouvelles idées“, c’est sa devise. Andreas Schulz, CEO LichtKunstLicht AG, Bonn/Berlin aborde l’euphorie LED avec un peu plus de retenue. „Nous avons besoin que l’industrie nous fournissent des données de comparaison et une certaine sécurité pour la planification“. Telles sont ses principales exigences. LIGHTLIFE a rencontré les deux libres penseurs pour discuter des possibilités et des limites de cette nouvelle technologie.


    Est-ce que la LED est pour vous la révolution dont tout le monde parle ?


    Stefan Behnisch: Oui, je crois que la LED marque une nouvelle ère en matière d’éclairage et qu‘elle mérite plus d’attention. Je me suis toujours étonné de la retenue de l’industrie vis-à-vis de la LED. Mais je pense, pour diverses raisons, que la technique LED est une technologie d’avenir. Vraisemblablement pas la seule, mais il n’y a encore jamais eu de vérités simples, il n’y a jamais eu une seule technologie. L’histoire de la technique montre bien qu‘il n’existe pas de vérité technique définitive. Il y a eu l’ampoule à incandescence, l’ampoule basse consommation, il y a eu le tube fluorescent et, avant le tube fluorescent, il y avait le tube néon.

    Andreas Schulz: Pour moi le développement de la LED est une véritable révolution. Certes, elle en est encore à ses débuts pour vraiment changer notre vie, mais elle est effectivement révolutionnaire, car elle permet de nombreuses choses que nous, les concepteurs d‘éclairages, avons toujours souhaité faire, mais qui ne pouvaient être que difficilement réalisées avec des ampoules ordinaires.


    Quelles sont pour vous les caractéristiques les plus importantes, les principaux avantages de la LED telle qu’elle existe aujourd’hui ?


    Andreas Schulz: La LED est déjà disponible dans une bonne qualité. Mais elle est toujours très chère par rapport aux autres ampoules. Ses avantages sont dans tous les cas la possibilité de réglage, la variation de la température des couleurs et naturellement les petites dimensions des ampoules avec lesquelles nous pouvons nous permettre un nouveau design de l’éclairage.

    Stefan Behnisch: L’avantage le plus important de la LED est sa longévité. En outre, elle engendre peu de déchets toxiques et exige moins d’entretien. Le grand mérite de la technique LED est que nous avons besoin de moins de matériau, moins de plastiques, moins de chrome, moins de cuivre. La LED présente aussi l’avantage de pouvoir être très plate, c’est-à-dire qu’elle n’a pas forcément besoin d’un réflecteur.


    Où en est votre client, le maître de l’ouvrage, l’investisseur au sujet de la technique LED ? Est-il déjà informé ? Voit-il les avantages ? Ou est-ce que la LED lui semble-t-elle être au stade d’expérimentation ?


    Stefan Behnisch:
    La LED n’en est en fait plus au stade de l’expérimentation. Je pense qu‘il s‘agit d‘une négligence, de la part de l‘industrie de l‘éclairage, à faire avancer suffisamment ce sujet. Mais vous avez cité un mot clef : L’investisseur. C’est malheureusement un problème. L’investisseur a sincèrement peu d’intérêt à favoriser les plus-values initiales car il n’est pas responsable de l’entretien du bâtiment. Convaincre les utilisateurs n’est absolument pas un problème. Les personnes qui construisent pour elles-mêmes comprennent tout de suite les avantages. Nous avons fait cette expérience en tout cas avec les deux projets où nous avons utilisé uniquement des LED.

    Andreas Schulz: Le client est déjà informé mais seulement de façon très superficielle. Et dans certains cas, nous sommes obligés de nous impliquer dans des projets LED sans que l’arrière-plan technique soit mis au clair. Les médias nous y ont un peu contraints et l’industrie joue là aussi un rôle considérable.


    Est-ce que vous vous impliquez plus, par les donnes techniques de la LED, que les designers d’éclairages ?


    Andreas Schulz: Nous nous considérons plus comme des développeurs ou constructeurs d’éclairages. Lorsque nous développons un plafond lumineux LED avec lequel nous voulons créer une lumière muséale, nous sommes d’une certaine façon également des designers d’éclairages, mais il s’agit en réalité d’une application technique. Nous pouvons potentiellement travailler également de façon créative et nous avons aussi quelquefois à traiter des projets vraiment très importants où nous présentons des conceptions de luminaires. Il s’agit en premier lieu de proposer des solutions techniques qui ne sont peut-être pas disponibles sur le plan industriel mais qui sont nécessaires pour nos réalisations. Ce sont notamment les musées et les très grands projets professionnels qui nécessitent des applications souvent spéciales. Sur la base de notre savoir-faire technique et de nos contacts avec l‘industrie, on aboutit à une application qui n‘existe pas encore sur le marché, mais qui est déjà State of the Art.

    Stefan Behnisch: Je ne suis pas un designer, je suis architecte. Je ne pense même pas que je sache particulièrement bien „designer“, mais l’une des raisons pour lesquelles la LED me plaît tant est qu’elle apporte des conditions techniques très simples et que je peux ainsi mettre en œuvre un design relativement fonctionnel. C’est ce qui me motive à créer. La LED est un nouveau sujet et il existe à mes yeux deux axes pour le design des éclairages : Il y a avec le corps du luminaire l’objet, la sculpture. Et ensuite, il y a ce „rien“ qui éclaire – c’est un élément que je trouve passionnant.


    Quel soutien attendez-vous de l’industrie ?


    Andreas Schulz: Nous attendons de toute urgence une certaine modularisation et également la normalisation de cette ampoule. Dans toute indication technique que nous recevons d’un fabricant, nous ne savons pas si elle est comparable à d’autres. S’agissant du degré d’efficacité, de la longévité, du comportement à la chaleur, etc., nous avons besoin d’indications fiables qui nous aident, nous les concepteurs, à faire des estimations objectives. Etant donné que nos projets s’étalent sur de longues périodes, la sécurité de planification est extrêmement importante. Si nous nous étions intéressés, il y a un an et demi, aux LED que nous connaissons aujourd’hui, nous aurions pu voir loin vers l’avenir. On n’imaginait pas à l’époque de telles avancées.

    Stefan Behnisch: Il faut dire que le développement rapide implique un défi spécial. Nous parlons d’une ampoule dont le grand avantage est sa longévité. Mais nous constatons en même temps que cette ampoule évolue actuellement à une vitesse fulgurante, un peu comme l‘informatique dans les années 90. chaque année, le prix est divisé par deux et sa puissance multipliée par deux. Ce qui vient naturellement un peu en contradiction avec la longévité. Les fabricants de luminaires constituent un autre point. Ils doivent maintenant vraiment utiliser les donnes techniques également pour un design de luminaires nouveau et révolutionnaire. Ils doivent tous changer leur façon de penser, même si personne n‘aime faire des essais pour s’orienter complètement vers de nouveaux sujets. C’est un risque.


    Qu’est-ce qui fait que la LED soit si populaire ?


    Stefan Behnisch: Dans les débats, nous constatons souvent que le luminaire LED présente non seulement des avantages techniques, mais aussi qu’il présente actuellement un gros avantage d’image ou une grande force d’innovation, qu’il constitue une technologie d’environnement, etc. Le débat sur l‘interdiction des ampoules à incandescence a continué d‘influencer positivement l‘image de la LED. Et la LED constitue effectivement la juste étape pour réduire la quantité de matériau et le volume de conception.

    Andreas Schulz: Oui, cela tient beaucoup à l’image. Nous travaillons actuellement sur un projet pour un grand groupe de l’acier. Pour le siège de ce groupe, nous mettons en œuvre, dans les services de la direction, des vastes installations d’éclairage LED dans les salles de conférence. Elles sont certes plus coûteuses, mais c’est un fait naturellement que la société montre ainsi sa capacité à progresser et naturellement aussi qu’elle mette en application le terme de durabilité par des potentiels d’économie d’énergie. La LED convient visiblement très bien à cet effet.


    Quels sont, à vos yeux, les avantages de l’OLED et comment voyez-vous son développement ?


    Andreas Schulz: L’OLED est une ampoule LED qui peut produire une lumière diffuse sur une grande superficie, ce que l’ampoule LED seule n’est pas en mesure de faire. Lorsque j’imagine qu’à l’avenir nous aurons des ampoules OLED que nous pourrons utiliser par exemple comme grands luminaires de surface diffus, ce sera un progrès immense car nous avons d’un seul coup plus besoin de profondeur d‘encastrement. C’est déjà une idée séduisante de pouvoir installer n’importe quand une ampoule directement au plafond ou de transformer une fenêtre en luminaire. Mais jusqu’à ce que la technique en soit là, il faudra à mon avis encore de nombreuses années.

    Stefan Behnisch: L’OLED réussit à faire ce que j’ai toujours tenté de faire avec la LED. Le „rien“ qui éclaire, la surface qui éclaire. Je pense que la LED était une petite révolution. Mais elle fonctionne toujours avec le point lumineux et non avec la surface lumineuse. L’OLED est clairement l’étape suivante. Je suppose que son prix sera un jour ou l’autre également abordable.



    Images : Publication gratuite avec la mention : Zumtobel

  • 04/2010
    Solutions lumière

    Le musée M de Louvain

    Dans le labyrinthe de l’Art
    Art ancien et art nouveau, Moyen-âge et art modernisme : Des comportements lumineux différenciés éclairent les œuvres d’art du musée M de différentes manières.
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    Art ancien et art nouveau, Moyen-âge et art modernisme : Le belge Stéphane Beel a développé un concept architectural qui relie les cabinets historiques du musée M de Louvain aux salles d’exposition modernes du nouveau bâtiment. Pour ce faire, des comportements lumineux différenciés éclairent les œuvres d’art de différentes manières.

    Connue pour son université, la localité flamande de Louvain, située à environ 20 kilomètres à l’est de Bruxelles, s‘illustre également depuis peu comme un haut-lieu artistique : après cinq années de planification et de construction, le musée M a ouvert ses portes en centre ville en septembre 2009. Avec une collection de 46 000 objets d’art moyenâgeux ou contemporains, le musée s’impose comme une institution déterminante pour l’héritage culturel de l’ancien duché de Brabant et fait en outre fonction de passerelle entre l’histoire et le présent. « Jahrhunderte alt und quicklebendig » (qui pourrait être traduit par « Plusieurs fois centenaire et toujours pétulante ») : le slogan du chef-lieu de la province flamande du Brabant s’applique également au nouveau musée. Le vaste complexe s’ouvre sur la vieille ville par plusieurs entrées, réunit des styles architecturaux et des époques différents et se présente comme un espace artistique animé aux multiples facettes.

    « Notre objectif était de faire du musée un lieu où l’Art puisse évoluer et où l’on puisse s’en délecter au lieu de le mettre hors de portée » explique Stéphane Beel au sujet de son projet. L’architecte et son bureau de Gand sont considérés comme des spécialistes des musées. Ils se sont fait un nom avec des projets de renom comme le pavillon de verre érigé devant la maison Rubens à Anvers ou l’agrandissement du musée central d’Utrecht. A Louvain, Stéphane Beel a opté pour la stratégie compliquée qui consiste à associer l’ancien et le neuf comme des structures indépendantes autour d’une cour intérieure centrale. L’ancien bâtiment de l’académie et le palais Vander Kelen-Mertens (ces deux bâtisses sont intégrées dans le musée M) ont été soigneusement rénovés selon les règles de préservation des monuments historiques et reliés à un nouveau bâtiment moderne par un pont. 6 500 m2 de surface d’exposition au total sont répartis dans les espaces historiques et modernes du labyrinthique complexe du musée. Alors que dans les anciens bâtiments, la somptuosité colorée du passé s’étend dans les cabinets relativement petits avec plafonds de bois et lambrissages muraux, la construction neuve montre une retenue sobre. C’est à ce contraste net et à cette opposition entre l’ancien et le neuf que Stéphane Beel a accordé une importance toute particulière. A l’avenir, les artistes anciens seront exposés dans les nouvelles salles et vice-versa. L’idée n’est pas de procéder à une attribution stricte des surfaces d’exposition.

    « La conservation et l’exposition d’œuvres d’art ainsi que l’Art lui-même n’imposent aucun type de bâtiment spécifique » estime Stéphane Beel. Au lieu de salles monotones et isolées, il a créé un parcours muséal utile, varié et polyvalent avec des salles vastes et hautes qui alternent avec des salles plus petites et plus étroites. Le concept d’éclairage des architectes prend en compte le caractère des différentes salles et réagit avec sensibilité à leurs conditions spatiales concrètes. Ainsi, les cabinets classés monuments historiques des bâtisses existantes sont éclairés par des rails Supersystem en filigrane qui sont suspendus à des câbles presque invisibles aux plafonds en bois anciens. Selon les besoins, des appliques murales verticales mettent en valeur les objets exposés grâce à une lumière flexible et expressive. „Grâce aux lèche-murs et aux réflecteurs à rayonnement large, nous évitons les forts contrastes entre les œuvres exposées et les murs situés autour“ explique Jan Van den Bergh du bureau d’études RCR, responsable des études électriques. Des rails à trois phases avec des projecteurs assurent l’éclairage général, compact et toujours flexible. Dans les salles „White-Cube“ nettement plus spacieuses du nouveau bâtiment, des rails Tecton sont complétés par des projecteurs Tempura dotés de la technologie à LED. Leur température de couleurs peut être ajustée selon les besoins de l’œuvre de 2 700 à 6 500 K. La lumière LED évite en outre la dégradation des objets d’art par les émissions de chaleur ou de rayons UV.

    Les premières expositions spéciales qui ont suivi l’inauguration, à laquelle la princesse Mathilde de Belgique et la princesse Máxima des Pays-Bas étaient présentes, ont été consacrées au peintre belge contemporain Jan Vercruysse et au maître du 15ème Siècle, Rogier van der Meyden. Près de 100 toiles de maître du célèbre peintre néerlandais provenant de collections européennes et américaines ont été rassemblées ; de nombreux tableaux pigmentés d’une grande fragilité ont été exposés pour la première fois à Louvain et témoignent d’une diversité de lumières et de couleurs permettant au musée M de briller à la manière flamande.



    Éléments du projet :
    Le museé M, Louvain/B
    Maître d’œuvre : Autonoom Gemeentebedrijf Museum de Louvain/B
    Architecture : Stéphane Beel Architecten, Gand/B
    Planification électrique : bureau d’études RCR, Herent/B
    Installateur électrique : Spie NV, Zaventem/B
    Solution d’éclairage : Zumtobel:
    Solution spéciale avec lèche-mur TC-L 36 W,
    » rails triphasés SUPERSYSTEM,
    » TECTON avec module de rails électrifiés,
    » lumière d’urgence à LED RESCLITE,
    » projecteurs à LED TEMPURA,
    » luminaires encastrés SLOTLIGHT II de classe IP 54,
    » lampes à monter PERLUCE



    images : Publication sans droit d’auteur avec la mention Zumtobel

  • 04/2010
    Produits

    Un seul produit pour tout

    Le design et la fonctionnalité du nouveau boîtier de commande Ciria de Luxmate sont convaincants
    facile à utiliser par tout le monde, avec une manipulation simple sans notice complexe
    Plus d’informationsMoins d'informations

    Une utilisation intuitive, un design remarquable et un équipement polyvalent : le nouveau boîtier Ciria de Luxmate vous permet de commander l’éclairage et les autres installations électriques d’une pièce. La convivialité de l’utilisation était le souci premier lors de sa mise au point.
    Matteo Thun, architecte et designer renommé, explique ainsi sa conception : « Grâce à sa signalétique claire et à sa navigation intuitive dans l’interface, Ciria est facile à utiliser par tout le monde, avec une manipulation simple sans notice complexe ».

    Le nouveau boîtier de commande Ciria de Luxmate se caractérise par ses formes droites et ses angles harmonieusement arrondis. L’interface utilisateur est composée d’un verre continu en façade, noir ou blanc au choix. Le petit boîtier de commande (92 x 130 x 13 mm), fermé sur le pourtour, à la surface lisse et facile d’entretien est séduisant à l’oeil.

    Le nouveau boîtier de commande Ciria de Luxmate permet de programmer et de mémoriser plus de 20 ambiances d’éclairage différentes. En plus de l’éclairage, il est possible de commander toutes les autres installations électriques existantes dans la pièce telles que les stores, la ventilation, le chauffage ou les écrans. Des réglages fins comme la gradation de l’éclairage ou la position des lamelles de stores peuvent être réalisés graduellement à partir de l’anneau de réglage central. Grâce à sa forme compacte, le module Ciria peut être encastré dans les boîtiers d’installation Euro conformément à la norme DIN 0606.

    La surface capacitative du boîtier de commande Ciria transmet avec précision, via le bus Luxmate, la pression tactile à la centrale de commande du module Luxmate Litenet ou Luxmate Professional. L’affichage OLED par ses symboles clairs avec possibilité de marquage additionnel et un bouton Marche/arrêt bien visible rend l’utilisation très confortable. Il est donc très facile à utiliser manuellement, même lorsque plusieurs installations sont intégrées.


    images : Publication sans droit d’auteur avec la mention Zumtobel

  • 04/2010
    Entreprise

    Eco+ - le label produit

    Le processus de valorisation récompense les plus économes
    Le nouveau logo eco+ classe les luminaires au niveau des produits.
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    Zumtobel fixe désormais de nouveaux standards dans la classification des produits, en fonction de critères pertinents pour la consommation. Avec le label eco+, Zumtobel identifie les produits qui sont particulièrement profitables pour l’homme et pour l’environnement. Il est à noter que cela intègre des sujets qui dépassent largement les informations techniques telles que la puissance raccordée. Les luminaires eco+ se démarquent par une qualité d’éclairage élevée avec une faible consommation d’énergie, et sont fabriqués dans des matériaux respectueux de l’environnement. L’ambitieux label produit eco+ affiche une consommation énergétique de 20 % inférieure à toutes les directives nationales et internationales existantes. Les architectes, les concepteurs et les installateurs reconnaissent maintenant au premier coup d’œil les produits particulièrement économes pour les ressources. Et cela même au sein d’une seule famille de produits, du fait que le label eco+ s’applique aux articles.

    Pour une solution lumière, l’impact déterminant sur l’environnement se situe au niveau de l’énergie réellement consommée. La particularité du label eco+ est son approche globale, qui intègre tous les composants du système et la qualité d’éclairage d’un luminaire dans la valorisation. Le label eco+ prend trois éléments en compte dans son évaluation : l’efficacité énergétique, l’impact sur l’environnement et la qualité de l’application.

    L’efficacité énergétique évalue à quel point un luminaire est économique. Cela inclut le rendement en service du luminaire et l’efficacité des lampes et du ballast. Des facteurs tels que la possibilité de réglage du luminaire augmentent son efficacité.

    L’impact sur l’environnement évalue la compatibilité environnementale des matériaux utilisés dans le luminaire. C’est ainsi que les luminaires doivent présenter un câblage exempt d’halogène, voire des luminaires de secours équipés de batteries sans cadmium, pour se voir attribuer le label eco+.

    Bien souvent, l’attention tendancieuse concentrée sur les valeurs de consommation ne prend pas suffisamment en compte la qualité d’éclairage d’un luminaire. C’est la raison pour laquelle des valeurs minimales de défilement ont été définies pour eco+ en fonction des applications. Des répartitions d’intensité lumineuses qualitatives, telles que les composantes indirectes, sont particulièrement valorisées.

    Dans le même temps, des valeurs limite ont été déterminées pour chaque catégorie d’application, afin de pouvoir intégrer les exigences particulières. Avec cette procédure très ambitieuse, Zumtobel souhaite souligner l’importance d’une évaluation orientée sur la consommation et la qualité et espère la faire avancer considérablement.


    images : Publication gratuite avec la mention : Zumtobel

  • 04/2010
    Solutions lumière

    Cooper Union à New York

    La météorite de Manhattan
    Le nouvel immeuble de l’école supérieure Cooper Union se dresse dans New-York tel un monolithe métallique. L’architecture retentissante respecte une planification de la lumière non moins stupéfiante.
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    Le nouvel immeuble de l’école supérieure de la Cooper Union se dresse dans le East Village new-yorkais, tel un monolithe métallique. L’architecture retentissante imaginée par le lauréat du prix Pritzker Thom Mayne respecte une planification de la lumière non moins stupéfiante.

    Comme si une météorite s’était abattue sur New-York. Cependant, alors qu’un vrai corps céleste de cette taille aurait totalement détruit Manhattan en tombant, celui-ci se dresse paisiblement entre des maisons historiques mansardées et les nouveaux bâtiments classiques du quartier. À la lumière du jour, le monolithe passe selon le temps du blanc au gris anthracite métallisé. Sa surface aux arêtes vives fait des plis. La nuit, l’immeuble s’éclaire doucement de l‘intérieur. Deux grandes encoches, qui peuvent être interprétées comme une croix ou des signes calligraphiques, permettent au regard d’explorer librement la structure intérieure, ainsi que les étudiants auxquels ce bâtiment se destine.

    Cooper Union héberge l‘École Supérieure d’Architecture, d’Arts et d’Ingénierie fondée il y a 150 ans. Le lauréat du prix Pritzker, Thom Mayne, a laissé ses météorites architectoniques, le nouvel immeuble, s’écraser en face des bâtiments principaux de l’université, à Cooper Square. Il est vrai que les bâtiments voisins n’ont pas été détériorés, mais ils en portent toutefois des stigmates : l’œuvre du californien polarise les new-yorkais, elle fait sauter les conventions communes et est en avance sur son temps. Elle est à l’instar du fondateur de l’école supérieure, Peter Cooper, un inventeur et magnat des chemins de fer qui a fait construire un puits d’ascenseur dans le bâtiment principal dès le 19ème siècle, bien que l’ascenseur adéquat n’apparut que dans les années 70.

    Ce qui passait autrefois pour une révolution est aujourd’hui complètement renversé pour devenir un signe de provocation : Thom Mayne conserve l’ascenseur dans son nouveau bâtiment uniquement à trois des neuf étages. Si cette architecture saisissante n’a pas attiré jusqu’ici, ce concept fera venir plus tard les étudiants et les visiteurs dans l’escalier. Comme un gigantesque tourbillon, la structure généreuse du bâtiment se creuse dans les corps des comètes. Accentuée par un immense treillage sculptural, l’architecture est en outre dramatisée par la lumière et les ombres, ainsi que par la rampe diffusant une lumière laiteuse dans les étages supérieurs. La spirale s’étire vers le haut jusqu’au plafond, où elle s’ouvre sur l’immensité du ciel. Une grande fenêtre intégrée dans la toiture laisse la lumière du jour s’infiltrer jusqu’au rez-de-chaussée.

    Ce mélange de lumière naturelle et de lumière artificielle est caractéristique de ce bâtiment, indique Teal Brogden, la directrice du bureau Horton Lees Brogden Lighting Design de Los Angeles et responsable de la planification de la lumière du projet. « Ce qui est extraordinaire avec la lumière naturelle, c’est qu’elle change en permanence. La couleur et l’intensité changent selon le temps qu’il fait et le moment du jour ou de l’année. La lumière artificielle en revanche, a tendance à la régularité et à un rendu plus chaud du spectre de couleurs. Nous avons utilisé ce rapport pour le concept : laisser la lumière se réchauffer et s’intensifier au fur et à mesure qu’elle s’approche du centre du bâtiment, comme au cœur de météorites. » Ainsi, le visiteur est témoin de différentes ambiances dans l’escalier : une lumière naturelle bleue règne dans les étages supérieurs, puis se mélange vers le bas avec une lumière artificielle toujours plus chaude. Les planificateurs de l’éclairage ne pouvaient mettre leur concept efficace en œuvre qu‘avec un projecteur, à savoir le projecteur Vivo.

    Là où il y a de la lumière, il y a aussi des ombres : cette dialectique est mise en scène de façon totalement consciente dans l‘architecture de la Cooper Union. Voici même ce qu’a supposé le New York Times au sujet du projet architectural de Tom Maynes : « À l’instar d’autres architectes radicaux de son âge, il s’intéresse davantage aux coins sombres et cachés dans lesquels les gens peuvent traîner, dissimuler des choses interdites et fuir devant les autorités. » Teal Brogden s’amuse de cette critique du nouveau bâtiment de l’école supérieure et explique : « Dans l’atrium, nous avons délibérément laissé quelques coins plus obscurs, notamment derrière les marches. Une fois que ce fut terminé, le maître d’ouvrage nous a demandé si nous avions oublié quelque chose. Nous luis avons expliqué qu’il s’agissait précisément de la zone d’accès au drame. C’est pourquoi seules certaines parties de la pièce sont éclairées, comme un théâtre baigné dans un halo de lumière. Le reste est dans l’ombre. »

    En jouant avec la lumière et les ombres, la liberté était conditionnée dans d’autres secteurs du bâtiment par des fonctions concrètes. Dans les laboratoires par exemple, deux fois plus de luminaires sont utilisés que dans les salles de classe. Le but est de pouvoir identifier plus aisément les différences de couleur minimes des fluides et les autres détails. Dans les salles de classe et de nombreux laboratoires, il a fallu maîtriser une autre prouesse technique en matière de lumière : les panneaux lumineux placés dans le plafond ont été intégrés dans les éléments de chauffage et de réfrigération également introduits. Une mission épineuse que nous avons acceptée en regard de l’écocompatibilité générale du bâtiment. Ainsi, Thom Mayne a posé de nouveaux jalons avec son projet, et pas seulement en termes d’esthétisme. Le nouveau bâtiment de la Cooper Union est en bonne voie pour être récompensé en qualité de premier bâtiment universitaire des États-Unis, par la distinction la plus prestigieuse du pays en matière d’écocompatibilité, la récompense LEED Platine. Cela aurait surement plu à Peter Cooper.


    Éléments du projet :
    The Cooper Union, New York/USA
    Maître d’œuvre : The Cooper Union for the Advancement of Science and Art, New York/USA
    Architecture : Morphosis Architects, Los Angeles, New York/USA,
    Directeur design : Thom Mayne; Architecte partenaire : Gruzen Samton
    Planification
    d’éclairage :
    Horton Lees Brogden Lighting Design, Los Angeles/USA
    Solution d’éclairage: Zumtobel
    Atrium et escalier :

    » projecteurs VIVO
    ,
    » projecteurs SPIRIT
    Salles de classe, laboratoires, ateliers de peinture, salles de conférences:
    luminaires encastrés (lampe 1 et 2, intégrés dans les panneaux chauffants et réfrigérants au plafond)
    Bureaux : » SPHEROS,
    Laboratoires : » système de bandes lumineuses RTX
    Sanitaires : solution spéciale luminaires encastrés,
    Galerie d’art : projecteurs et rails conducteurs 

    images : Publication sans droit d’auteur avec la mention Zumtobel

  • 04/2010
    Solutions lumière

    L’Éclaireur, boutique design à Paris

    Mise en Scène
    Une sélection d‘articles de mode de créateurs ou la très en vue Microsoft Surface Table, tout est à sa place à l’Éclaireur… sauf l’ennui !
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    Il aime le désordre organisé et ne se lasse pas d’admirer les belles cho-ses : en octobre 2009, Armand Hadida a ouvert, avec sa femme Martine, son sixième Showroom à Paris. Une sélection d‘articles de mode de créateurs ou la très en vue Microsoft Surface Table, tout est à sa place à l’Éclaireur… sauf l’ennui !

    « Ce n’est pas une boutique, c’est une expérience », déclare Arne Quinze au sujet de sa toute dernière boutique de l’Éclaireur, au 40, rue de Sévigné à Paris. Avec la prétention d‘être plus qu‘un simple magasin, le nouveau showroom d’Armand et Martine Hadida s’intègre parfaitement dans la chaîne des boutiques de l’Éclaireur déjà existantes. Les collections de designers de renom du monde entier sont exposées sur 450 m2. Mais justement pas seulement, et pas tous non plus. Seul le personnel peut décider qui aura la chance de voir les pièces convoitées des designers et qui posera ses vêtements sur les porte-manteaux des vestiaires.

    SAQ aime la provocation, ce qui change du quotidien. À l’Éclaireur, un champ de contraintes fascinant naît de la combinaison de la technologie de pointe la plus moderne et de matériaux recyclés. Deux tonnes de madriers bruts, de vieilles plaques d‘imprimerie et de cartons pulvérisés de peinture sont en opposition flagrante avec les 147 écrans vidéo animés sur lesquels apparaissent les yeux de l’épouse d’Arne Quinze, Barbara Becker. Entre les deux, se trouvent les pièces favorites et les trouvailles d’Armand et Martine Hadida, et bien sûr les collections des créateurs. Tout semble arbitraire et cependant parfaitement mis en scène.

    Le jeu d’ombres et de lumière est orchestré de main de maître par la conceptrice de l’éclairage, Aysil Sari. En association avec Zumtobel, elle a développé le système d’éclairage Supersystem, qui permet un éclairage focalisé, et ce également depuis une hauteur élevée. Les projecteurs à LED de 2,5 W fixés sur rails persuadent avec une lumière sans rayons UV et IR qui ne dégage pas de chaleur. Des caractéristiques particulièrement importantes pour la présentation de vêtements. Les espaces surélevés et les vestiaires sont éclairés par un développement du système Supersystem, un module carré de 4 projecteurs aux multiples facettes. « Pour ceux qui ont un concept de boutique exceptionnel et qui ne veulent pas une solution d’éclairage sur catalogue, mais une solution futuriste. Avec Zumtobel, il a été possible de le développer et de le mettre en œuvre », explique la planificatrice de l’éclairage.

    Armand et Martine Hadida voulaient toujours de l’exceptionnel. Ce couple visionnaire a ouvert sa première boutique de vêtements de créateurs à Paris il y a 30 ans et a ainsi introduit en France des marques comme Prada, Helmut Lang, Timberland, Tods. Il est connu pour ses points de ventes exclusifs. En 2001, le showroom ouvert rue Hérold a fait sensation. Il était invisible depuis l’extérieur et exclusivement accessible avec un code confidentiel. Martine Hadida est convaincue que seules des rencontres humaines fascinantes nous font grandir. Cela passe selon elle par l’étonnement, la curiosité et, avant tout, la mise en scène et non l’exposition de collections. Le concept semble né. Ainsi, un bloggeur décrit sur Internet que l’installation et l’expérience spatiale du nouveau showroom parisien fascinent. Il remarque toutefois avoir totalement oublié la mode du fait de son enthousiasme. Et maintenant, il reviendra certainement !


    Éléments du projet :
    L'Éclaireur, Paris/F
    Maître d’œuvre : Armand et Martine Hadida, Paris/F
    Architecture  intérieur / Designer boutique : SAQ, Artistic work, Arne Quinze, Bruxelles/B
    Planificationde l’éclairage : Supersymetrics, Aysil Sari, Widnau/CH
    Solution d’éclairage : Zumtobel:
    » Rails SUPERSYSTEM H avec LED 2,5 Watts,
    » Module de 4 projecteurs SUPERSYSTEM



    images : Publication sans droit d’auteur avec la mention Zumtobel

  • 03/2010
    Solutions lumière

    Une entreprise publique économise l’énergie

    ASEAG Aachen atteste un nouveau mode de pensée
    La nouvelle solution lumière basée sur la lumière du jour de la halle d'entretien des « Aachener Verkehrsbetriebe » offre un énorme potentiel d'économie d'énergie. Cette installation est amortie après seulement deux ans.
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    Lorsque vous arrivez dans le hall d'entretien des transports publics de la région d'Aix-la-Chapelle - « Aachener Verkehrsbetriebe » - ce ne sont pas seulement les bus qui vous attirent, votre regard est de suite happé par l'éclairage clair et accueillant. Cet éclairage est en outre extrêmement efficace grâce à la technique que renferme la nouvelle installation.

    « Lorsque la lumière du jour ou les rayons du soleil pénètrent dans le bâtiment, nous économisons un tas de courant » se réjouit Rudi Aretz, directeur U.O. à la gestion technique de bâtiment d'EVA, une entreprise de distribution d'énergie et d'infrastructures routières. Dans deux grandes halles, les 280 bus et quelque 150 autocars de l'entreprise de transports publics d'Aix-la-Chapelle, l'ASEAG, sont régulièrement entretenus. Parmi eux, un spécimen rare sur les routes allemandes : le bus à double articulation de 25 mètres de longueur, appelé familièrement le « Längelulatsch ». Dans ces halles, les travaux de nettoyage et d'entretien se poursuivent jour et nuit. Aussi l'éclairage constitue-t-il un poste de coûts important du budget énergétique annuel. C'est ce qui a motivé l'équipe de Rudi Aretz à se mettre à la recherche d'alternatives. « Nous avons cherché dans l'Internet et parlé avec plusieurs installateurs. Le concept global de la société Frings nous a finalement convaincu. L'héliomètre de Zumtobel, qui calcule avec précision la quantité de lumière artificielle nécessaire, a été un argument décisif. »

    L'ancienne installation avait une puissance connectée de 26 000 watts et fonctionnait 18 heures par jour. Alors que les vitrages en haut des deux vastes halles d'entretien offrent d'excellentes conditions pour exploiter la lumière naturelle.

    Maintenant les postes de travail de la plus petite des deux halles sont éclairés conformément aux normes avec un éclairement de 550 – 600 lux grâce aux luminaires pour locaux humides Scuba graduables équipés de lampes T5 ne totalisant plus que de 18 000 watts. L'héliomètre enregistre l'intensité de la lumière du jour et la position du soleil. Chaque luminaire Scuba est individuellement connecté au système de gestion de l'éclairage Luxmate Professional qui le commute et le gradue automatiquement. Même lorsque le ciel est fort couvert, il arrive rarement que la puissance connectée dépasse 12 000 watts. Avec un ciel ensoleillé, la puissance connectée nécessaire tombe même à 5 000 watts ! Ce qui signifie une réduction de plus de 60 % ! Ce calcul ne tient pas encore compte du potentiel d'économie d'énergie supplémentaire apporté par les détecteurs de présence qui diminuent lentement, jusqu'à l’extinction complète, 3 à 4 luminaires lorsque personne ne se trouve dans la zone en question. C'est ainsi que tous ceux qui travaillent à l'atelier bénéficient toujours d'assez de lumière et en même temps, le potentiel d'économie d'énergie est exploité au maximum. La grande halle a permis de faire des économies encore plus impressionnantes. La puissance connectée totale a pu être réduite, passant de 58 000 watts à une moyenne de 30 300 watts. Par beau temps, au poste de calcul, on enregistre par moments des valeurs de connexion de 14 500 watts - et Rudi Aretz s'en félicite : « Il n'était pas possible de calculer exactement au préalable le potentiel d'économie d'énergie et nous sommes agréablement surpris de voir que les résultats dépassent largement nos calculs. Cette installation est amortie après deux ans environ. C'est une période très courte et ensuite, nous économisons de l'argent comptant et œuvrons en même temps à la protection de l'environnement. »

    La technique de sécurité a elle aussi été entièrement modernisée. Les rails porteurs intègrent des luminaires de sécurité Resclite équipés de puissantes LED. Grâce à leur grande efficacité et à l’excellente répartition du flux, il suffit de quelques luminaires pour remplir les exigences normatives en matière d’éclairage de sécurité même à des hauteurs de montage élevées. De plus, les LED performantes consomment un minimum d’énergie. La puissance raccordée est de seulement 5 watts, en mode non permanent, elle atteint à peine 1,5 watt.
    Avec la nouvelle installation d'éclairage, le distributeur d'énergie se prononce en faveur d'une technique de bâtiment orientée vers l'avenir. Car la combinaison judicieuse d'éclairage artificiel et naturel permet de faire de substantielles économies d'énergie tout en offrant une lumière d'excellente qualité.



    Projet: ASEAG Verkehrsbetriebe Aachen/D
    Maître d'ouvrage: ASEAG Verkehrsbetriebe Aachen/D
    Conception et installation électrique: Frings Elektrotechnik, Alsdorf/D
    Solution lumière : Zumtobel
    » luminaire pour locaux humides SCUBA,
    » gestion de l'éclairage LUXMATE Professional,
    » luminaire de sécurité RESCLITE


    Images: Publication gratuite avec la mention : Zumtobel
  • 03/2010
    Solutions lumière

    Lumière royale au Neuschwanstein

    Le château illuminé par un nouvel éclairage à LED
    Schloss Neuschwanstein, ce château situé près de Füssen en Allemagne et réputé dans le monde entier, est maintenant équipé avec le nouvel éclairage à LED de Zumtobel.
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    Le roi Louis II en serait stupéfait ! Le monarque, qui s’est toujours montré très ouvert aux nouvelles technologies, réalisait déjà de nombreuses prouesses techniques au 19ème siècle, au moment de la construction du Schloss Neuschwanstein. Ce sont précisément ces réalisations, mais surtout les salles de prestige décorées d’œuvres d’art de grande valeur, qui sont désormais éclairées par Zumtobel dont les luminaires à LED diffusent un éclairage d’accentuation efficace mais qui, avant tout, les préserve. Le système d’éclairage à LED Supersystem et les projecteurs à LED Tempura illuminent donc depuis peu la somptueuse salle du trône. Au cours de cette année, il est prévu de rénover l’éclairage et d’équiper successivement toutes les zones accessibles aux visiteurs avec des solutions individuelles à LED de Zumtobel. Pour ce faire, la Bayerische Schlösser- und Seenverwaltung saute allègrement quelques étapes de développement technique pour adopter directement la LED, la lampe la plus novatrice qui soit dans le domaine de l’éclairage.

    Cet éclairage a séduit les responsables du projet essentiellement parce que ses dimensions sont très réduites et parce qu’il est exempt de rayonnement ultraviolet. À ce sujet, Heiko Oehme du département construction de la Bayerische Schlösserverwaltung déclare : « Les luminaires à LED sont remarquables pour nos salles historiques avec leur mobilier, leurs textiles et leurs peintures extrêmement fragiles. Ils ne font pas passer les couleurs des précieux objets exposés et permettent une mise en valeur idéale de l’espace grâce à leur lumière brillante. La possibilité de choisir la température de couleur de la lumière entre le blanc chaud à 3 000 kelvins et le blanc froid à 6 500 kelvins permet de souligner les détails dans toute leur finesse. » Neuschwanstein fait désormais partie des châteaux et châteaux forts les plus visités en Europe : près de 1,3 millions de touristes visitent chaque année le « château du roi des contes de fées ». En été, quelque 6 000 visiteurs circulent en moyenne chaque jour dans les pièces qui n’étaient, à l’origine, destinées qu’à une seule personne. Le souci majeur pour les conservateurs de ce bâtiment était la forte contrainte à laquelle étaient soumis les matériaux historiques par les rayonnements ultraviolet et infrarouge, dus aussi bien à la lumière du soleil qu’à la lumière artificielle. Il était donc devenu absolument indispensable d’améliorer l’éclairage existant, tout en intervenant de la manière la plus conservatoire possible. La Bayerische Schlösserverwaltung avait pour directive soit d’utiliser les points de fixation déjà existants soit de travailler avec des dispositifs de raccordement qui n’altéraient pas du tout la substance de ces matériaux anciens. Pour ne pas perturber la sensation historique qui se dégage de ces pièces, il fallait renoncer le plus possible aux sources d’éclairage visibles.

    Le choix en faveur du Supersystem de Zumtobel fut aisé car ce système d’éclairage est à la fois très discret du point de vue architectonique et très efficace en apportant une accentuation plaisante même à de grandes distances. Les spots à LED de seulement 2,5 W s’adaptent, par divers accessoires optiques, à des répartitions variables de la lumière. Sur les projecteurs à LED Tempura, qui illuminent désormais les magnifiques couleurs de la coupole dans la salle du trône, il suffit d’appuyer sur un bouton pour faire varier la température de couleurs entre 2 700 kelvins et 6 500 kelvins. Les gardiens du musée ont donc toujours la possibilité d’ajuster la luminosité.

    Avec l’éclairage à LED, Schloss Neuschwanstein entre dans l’ère du 21ème siècle : du point de vue de la conservation et de la décoration ; c’est la bonne décision pour protéger et mettre en valeur les pièces du château, avec leur aménagement si unique et précieux à la fois.


    Éléments du projet :
    Schloss Neuschwanstein
    Maître d’œuvre : Bayerische Verwaltung der staatlichen Schlösser, Gärten und Seen, Munich Thomas Rauh, Staatliches Hochbauamt Kempten
    Installation électrique : Ambos, Füssen
    Solution d’éclairage: Zumtobel:
    » projecteurs à LED TEMPURA,
    » solution d’éclairage spéciale à LED Supersystem



    Images : Publication sans droit d’auteur avec la mention : Zumtobel

  • 02/2010
    Produits

    Des distinctions attribuées aux produits Zumtobel

    L’iF product design award 2010 décerné à Ecoos, Ciria et Discus
    Les trois produits présentés par Zumtobel pour l’iF Award ont séduit le jury et se sont vu décerner l’iF product design award 2010.
    Plus d’informationsMoins d'informations
    Les trois produits présentés par Zumtobel pour l’iF Award ont séduit le jury et se sont vu décerner l’iF product design award 2010, cette distinction tant convoitée attribuée à des articles dont la conception se démarque. Cette année, les vainqueurs sont les luminaires à éclairage direct/indirect Ecoos, le système de projecteurs Discus ainsi que l’élément de commande Ciria. Les produits Zumtobel ont su convaincre grâce à leur conception avant-gardiste qui se combine harmonieusement avec une technologie haute efficacité pour remplir la tâche d’éclairage demandée correspondante.

    2 486 produits provenant de 39 pays avaient postulé à l’iF product design award 2010, parmi lesquels 778 ont obtenu la récompense recherchée. L’iF product design award compte depuis plus de 50 ans parmi les trois concours de design les plus prestigieux au monde. Ce concours, qui est ouvert à tous les secteurs de la conception des produits, récompense les entreprises, les designers et les fabricants qui se distinguent par des prestations remarquables et font preuve d’esprit d’innovation. À cet égard, l’iF product design award peut se targuer d’être un baromètre des tendances vers lesquelles évoluera la conception des futurs produits.

    Luminaire suspendu Ecoos – la lumière sur 360°
    Les luminaires Ecoos, à éclairage direct/indirect, séduisent par leur ligne légèrement galbée et l’harmonie de leur éclairage rayonnant sur 360°. La combinaison, unique en son genre, des composantes d’éclairage direct, indirect et latéral augmente le confort visuel. Et tout ceci avec une seule lampe ce qui rend le luminaire très économique. L’optique à structure micropyramidale MPO+ de grande qualité et les réflecteurs latéraux perforés font apparaître le luminaire comme un objet lumineux étincelant, qui met en valeur tous les espaces. Les embouts chromés brillants donnent au corps du luminaire un aspect fini très réussi.
    » À la famille de produits ECOOS

    Discus – le système de projecteurs épuré
    Design : EOOS

    Avec le modèle Discus, Zumtobel propose un système de projecteurs futuristes qui s’adapte à la forme plate, en retrait de son architecture. Le concept innovant du refroidissement optimise la minceur de sa forme et prolonge la durée de vie des lampes. La technologie efficace des réflecteurs Zumtobel et des lampes de type LED 30 W ou mini HIT permet des réalisations compactes avec un diamètre de 125 mm pour une hauteur de seulement 28 mm (version à LED). Les projecteurs, en aluminium moulé sous pression, sont disponibles en teinte noire et argent.
    » À la famille de produits DISCUS

    Élément de commande Luxmate Ciria – un pour tous
    Design : Matteo Thun

    L’élément de commande Ciria de Luxmate est séduisant par son design rectiligne aux angles légèrement arrondis et par son verre facile d’entretien, noir ou blanc au choix. Le design de Matteo Thun vise essentiellement la simplicité du menu sur l’interface utilisateur. En plus de l’éclairage, il permet de commander toutes les autres installations d’une pièce. La luminosité est ajustée individuellement au moyen de l’anneau de gradation placée au centre. Grâce à sa structure compacte, Ciria peut être encastré dans les boîtiers d’installation Euro conformément à la norme DIN 0606.
    » À la famille de produits LUXMATE LITENET

    Les lauréats seront présents du 2 mars jusqu’en août 2010 sur l’exposition annuelle iF design à Hanovre.


    illustrations : Publication sans droit d’auteur avec la mention Zumtobel

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